C’est en forçant la porte de la cuisine coté plage au pied de biche après minuit, heure de fermeture du restaurant, qu’un ou plusieurs individus sont rentrés dans l’établissement pour l’incendier. La cave aurait pu être un second point d’entrée puisqu’elle a été retrouvée ouverte. Plusieurs foyers auraient été allumés pour que le restaurant brûle à 90%. Ils auraient même été activés par des produits inflammables. Difficile avec ce scénario de ne pas privilégier la piste criminelle et le désir de détruire entièrement l’Altru Versu. L’alerte a été donnée à 3h10/
Arrivés sur les lieux vers 4h, les propriétaires ont constaté, consternés, l’ampleur des dégâts provoqués par l’incendie qui venait de détruire entièrement leur établissement. Rapidement la thèse du court-circuit électrique a été rejetée, confirmée par deux experts de Marseille.
David Mezzacqui exprimera son dégoût profond pour cet acte criminel destructeur d’une vie entière, professionnelle mais aussi privée. Des souvenirs, des recettes affinées au détail près, depuis des années sur papier et sur son ordinateur, des photos….Brûler c’est détruire définitivement dira t-il.
Aucune menace n’a été reçue par la famille Mezzacqui, personne ne les a mis à l’amende, aucun conflit n’est venu dernièrement entacher l’harmonie de leur travail, ils ne vendent pas de drogue, ils n’ont pas mis le feu à l’établissement qu’ils ont créé. Les commérages vont déjà bon train, et cette famille demande de ne pas les alimenter.
Les autres commerçants, ils n'y pensent même pas, tous des amis.
Rivalité commerciale ? Nous sommes dans un autre registre. Mais alors pourquoi nous avoir fait ça, et à qui profite le crime ?
La jalousie ? De quoi ? En Corse des gens qui travaillent honnêtement qui ne veulent de mal à personne, qui ne font pas de politique, qui travaillent avec les producteurs, les agriculteurs de façon saine, voient toute leur vie s’en aller en fumée. Ce n’est pas normal que l’on vienne leur bruler leur commerce. On est dans l’incompréhension la plus totale.
Un long travail d’organisation et de reconstruction commencera dès que les experts auront fini leur travail. Murs fendus, sols éclatés, matériel irrécupérable, système électrique inexistant, recettes élaborées sur des années parties en fumée, le travail sera aussi psychologique.
Arrivés sur les lieux vers 4h, les propriétaires ont constaté, consternés, l’ampleur des dégâts provoqués par l’incendie qui venait de détruire entièrement leur établissement. Rapidement la thèse du court-circuit électrique a été rejetée, confirmée par deux experts de Marseille.
David Mezzacqui exprimera son dégoût profond pour cet acte criminel destructeur d’une vie entière, professionnelle mais aussi privée. Des souvenirs, des recettes affinées au détail près, depuis des années sur papier et sur son ordinateur, des photos….Brûler c’est détruire définitivement dira t-il.
Aucune menace n’a été reçue par la famille Mezzacqui, personne ne les a mis à l’amende, aucun conflit n’est venu dernièrement entacher l’harmonie de leur travail, ils ne vendent pas de drogue, ils n’ont pas mis le feu à l’établissement qu’ils ont créé. Les commérages vont déjà bon train, et cette famille demande de ne pas les alimenter.
Les autres commerçants, ils n'y pensent même pas, tous des amis.
Rivalité commerciale ? Nous sommes dans un autre registre. Mais alors pourquoi nous avoir fait ça, et à qui profite le crime ?
La jalousie ? De quoi ? En Corse des gens qui travaillent honnêtement qui ne veulent de mal à personne, qui ne font pas de politique, qui travaillent avec les producteurs, les agriculteurs de façon saine, voient toute leur vie s’en aller en fumée. Ce n’est pas normal que l’on vienne leur bruler leur commerce. On est dans l’incompréhension la plus totale.
Un long travail d’organisation et de reconstruction commencera dès que les experts auront fini leur travail. Murs fendus, sols éclatés, matériel irrécupérable, système électrique inexistant, recettes élaborées sur des années parties en fumée, le travail sera aussi psychologique.
Inseme Per a Corsica soutient la famille Mezzacqui
José Filippi Au nom d’Inseme per a Corsica :
Le Cumitatu d’Aiacciu d’Inseme per a Corsica apporte son total soutien à Jean Pierre et David Mezzacqui, propriétaires du restaurant l’Altru Versu, à la suite de la destruction de leur outil de travail au seuil de la saison estivale. Les militants et amis de cette famille de travailleurs corses sont attristés face à cet acte ignoble, qu’ils condamnent fermement et sans réserve, qui a détruit un établissement d’excellente réputation qui valorise de façon significative l’image de la commune d’Aiacciu en mettant en avant les producteurs et les produits corses.
Le Cumitatu d’Aiacciu d’Inseme per a Corsica apporte son total soutien à Jean Pierre et David Mezzacqui, propriétaires du restaurant l’Altru Versu, à la suite de la destruction de leur outil de travail au seuil de la saison estivale. Les militants et amis de cette famille de travailleurs corses sont attristés face à cet acte ignoble, qu’ils condamnent fermement et sans réserve, qui a détruit un établissement d’excellente réputation qui valorise de façon significative l’image de la commune d’Aiacciu en mettant en avant les producteurs et les produits corses.
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