(Photos Marcu-Antone Costa)
C’est un moment fort de la saison qui attend les protégés de Frédéric Ferrandez dans un match que l’on pourrait qualifier de « Classico » entre les deux équipes. D’un côté, le club de la Capitale et ses stars, 6e (9 points), de l’autre, des Gaziers qui possèdent la particularité de s’être imposés trois fois en déplacement mais de rester sur deux défaites au Palatinu (Poitiers et Chaumont). Privé de Radic, le Gaz retrouve Toafa Takaniko, son passeur. Dans un Palatinu « chaud-bouillant », le Gaz sera fidèle à sa réputation. Solide mentalement, il va donner l’impression de pouvoir revenir au milieu de la quatrième manche. Mais il va se heurter à un adversaire dans la lignée des précédents entrevus au Palatinu. Un adversaire qui saura faire la parler son expérience, sa qualité de service et sa réception, pour s’imposer logiquement.
Les Parisiens vont, d’entrée annoncer la couleur et mettre la pression sur le collectif gazier. Avec Pineirho, vieille connaissance, à la baguette et aux services de feu, le club de la Capitale s’installe en maître dans la rencontre (4-8 au premier temps mort technique). Une étreinte que le GFCA ne parviendra pas à desserrer. Dominateur, le club parisien s’envole dans une manche au cours de laquelle il ne sera jamais véritablement inquiété (10-17…17-23) pour finir le travail en moins d’une demi-heure (17-25).
Mieux en jambes lors du second acte, le GFCA, solide en réception et bon au service, va longtemps faire la course en tête. Menant même de trois longueurs au premier temps mort technique (8-5). Si le club de la Capitale se remet dans le sens de la marche (8-8), les coups de boutoirs de Gonzalez permettent au Gaz de maintenir la cadence (10-8, 11-9, 12-10). Mais l’armada parisienne hausse son niveau, soigne son service pour finalement reprendre l’avantage et le conserver d’une courte tête jusqu’au second temps mort technique (15-16). Les Parisiens prennent l’ascendant malgré une bonne réaction du GFCA. De sorte qu’au money time, la pression est du côté des Ajacciens (18-20). Le Gaz a le mérite de s’accrocher, témoin cette balle attaque de Carle (21-22). La fin de set est palpitante. Dailey puis Lacassie permettent aux « rouge et bleu » de recoller (22-22). Le suspense est insoutenable (23-23). Le temps mort demandé par le coach parisien porte ses fruits. Les visiteurs concluent en 30 minutes (24-26).
Les Parisiens vont, d’entrée annoncer la couleur et mettre la pression sur le collectif gazier. Avec Pineirho, vieille connaissance, à la baguette et aux services de feu, le club de la Capitale s’installe en maître dans la rencontre (4-8 au premier temps mort technique). Une étreinte que le GFCA ne parviendra pas à desserrer. Dominateur, le club parisien s’envole dans une manche au cours de laquelle il ne sera jamais véritablement inquiété (10-17…17-23) pour finir le travail en moins d’une demi-heure (17-25).
Mieux en jambes lors du second acte, le GFCA, solide en réception et bon au service, va longtemps faire la course en tête. Menant même de trois longueurs au premier temps mort technique (8-5). Si le club de la Capitale se remet dans le sens de la marche (8-8), les coups de boutoirs de Gonzalez permettent au Gaz de maintenir la cadence (10-8, 11-9, 12-10). Mais l’armada parisienne hausse son niveau, soigne son service pour finalement reprendre l’avantage et le conserver d’une courte tête jusqu’au second temps mort technique (15-16). Les Parisiens prennent l’ascendant malgré une bonne réaction du GFCA. De sorte qu’au money time, la pression est du côté des Ajacciens (18-20). Le Gaz a le mérite de s’accrocher, témoin cette balle attaque de Carle (21-22). La fin de set est palpitante. Dailey puis Lacassie permettent aux « rouge et bleu » de recoller (22-22). Le suspense est insoutenable (23-23). Le temps mort demandé par le coach parisien porte ses fruits. Les visiteurs concluent en 30 minutes (24-26).
Malgré une fin de deuxième manche cruelle dans son issue, le GFCA n’est guère décidé à baisser les armes. Mieux, il rentre dans cette manche avec la ferme intention de faire douter son adversaire. Le Gaz va, comme au second set, bien débuter (4-1, 5-2). Avant de voir les ténors parisiens revenir (6-6, 7-7). Il mène toutefois d’une courte avance au premier temps mort technique (8-7). Une avance maintenue et confortée grâce à deux belles diagonales de Gonzalez et Carle et un contre de Dailey (12-9). Daniel Rougeyron demande alors un temps mort pour recadrer ses troupes et casser cette mauvaise spirale. Le club parisien parvient, encore une fois, à refaire surface misant sur sa qualité de service. Lacassie permet tout de même au Gaz de conserver son avance (16-15). Gergye réplique à Castard mais le deuxième temps mort demandé par le coach parisien montre bien que ses protégés ne sont pas au mieux. D’autant que le GFCA est peu enclin à lâcher du lest. Témoin, une nouvelle attaque gagnante de Gonzalez. Les « rouge et bleu » conservent leur avantage jusqu’au money time (20-18) sous l’impulsion du tandem Carle-Gonzalez (16 points chacun à ce moment du match). Comme au précédent, la fin de set est dure pour les nerfs (24-24, 25-25). Takaniko s’offre d’un ace, une balle de set mais il sert ensuite dans le filet (27-27). Un block de Dailey et une attaque de Lacassie permettent au Gaz d’entretenir l’espoir (29-27).
Ce n’est désormais plus le même match. Dans leurs petits souliers, les Parisiens font le dos rond dans une entame de quatrième manche à l’avantage des Corses (3-1, 4-2, 5-3…). Malgré le retour des Parisiens (5-5), le GFCA ne lâche rien et vire en tête au premier temps mort technique (8-6). Une avance psychologiquement importante. Le GFCA continue sur sa lancée face à un adversaire qui donne la nette impression de baisser pavillon dans cette manche (10-6…11-7). On se dit alors que l’exploit est à portée de mains du côté « rouge et bleu »…Mais ce n’est qu’une impression. Emoussé sans doute par tant d’effors fournis, le GFCA ne parvient pas à garder la cadence et Paris, de son côté hausse son niveau de jeu. Résultat, Paris recolle une nouvelle fois (15-15). Dailey donnant toutefois l’avantage à ses couleurs au second temps mort technique (16-15). La suite? Gergye, meilleur marqueur adverse, fait parler la poudre au mauvais moment (16-16…16-17). Le GFCA a laissé passer sa chance car Paris retrouve des couleurs et prend les devants au money-time (18-20). Avant d’enfoncer le clou (18-23). Castard retarde l’échéance. Un contre parisien donne quatre balles de matchs. La première termine dans le filet. Un nouveau contre gagnant donne les trois points au club de la Capitale….
Ce n’est désormais plus le même match. Dans leurs petits souliers, les Parisiens font le dos rond dans une entame de quatrième manche à l’avantage des Corses (3-1, 4-2, 5-3…). Malgré le retour des Parisiens (5-5), le GFCA ne lâche rien et vire en tête au premier temps mort technique (8-6). Une avance psychologiquement importante. Le GFCA continue sur sa lancée face à un adversaire qui donne la nette impression de baisser pavillon dans cette manche (10-6…11-7). On se dit alors que l’exploit est à portée de mains du côté « rouge et bleu »…Mais ce n’est qu’une impression. Emoussé sans doute par tant d’effors fournis, le GFCA ne parvient pas à garder la cadence et Paris, de son côté hausse son niveau de jeu. Résultat, Paris recolle une nouvelle fois (15-15). Dailey donnant toutefois l’avantage à ses couleurs au second temps mort technique (16-15). La suite? Gergye, meilleur marqueur adverse, fait parler la poudre au mauvais moment (16-16…16-17). Le GFCA a laissé passer sa chance car Paris retrouve des couleurs et prend les devants au money-time (18-20). Avant d’enfoncer le clou (18-23). Castard retarde l’échéance. Un contre parisien donne quatre balles de matchs. La première termine dans le filet. Un nouveau contre gagnant donne les trois points au club de la Capitale….