Ce mercredi 15 septembre, date à laquelle l'obligation vaccinale est entrée en vigueur en France, une vingtaine de personnes, pour la majorité du personnel de l’hôpital, s'était réunie à 14 heures devant le centre hospitalier Calvi-Balagne. Tous étaient présents pour soutenir deux collègues suspendues faute de pouvoir montrer une preuve d'injection. S'ils refusent la politique vaccinale, ce n'est pas contre la vaccination en elle même mais bien pour ce qu'ils appellent une "obligation liberticide".
Devant l'établissement de santé, une soignante s’indigne : "Si les chiffres sont aussi mauvais, comme on nous l’annonce…si les hôpitaux sont saturés, en pleine crise sanitaire, comment peut-on se passer de soignants ? Je vous rappelle nous ne soignons pas que la Covid ! Nous sommes aussi confrontés à des pathologies gravement transmissibles pour lesquelles ils n’existent aucun vaccin et nous les soignons ! Elle reprend, le plan Blanc est reconduis, le personnel vacciné se trouve déjà en sous effectif, ils seront rappelés pour remplacer leur collègues, dans un état de souffrance psychologique et d’un épuisement sans précédent."
Selon le collectif, la Balagne ne pourra pas faire appel aux personnels du centre hospitalier de Bastia ou d'autres établissements de l’île qui souffrent eux aussi d'une grande tension hospitalière. Ils craignent dans les semaines à venir, de véritables conséquences sur l’offre de soins dans les hôpitaux et chez les libéraux.
Devant l'établissement de santé, une soignante s’indigne : "Si les chiffres sont aussi mauvais, comme on nous l’annonce…si les hôpitaux sont saturés, en pleine crise sanitaire, comment peut-on se passer de soignants ? Je vous rappelle nous ne soignons pas que la Covid ! Nous sommes aussi confrontés à des pathologies gravement transmissibles pour lesquelles ils n’existent aucun vaccin et nous les soignons ! Elle reprend, le plan Blanc est reconduis, le personnel vacciné se trouve déjà en sous effectif, ils seront rappelés pour remplacer leur collègues, dans un état de souffrance psychologique et d’un épuisement sans précédent."
Selon le collectif, la Balagne ne pourra pas faire appel aux personnels du centre hospitalier de Bastia ou d'autres établissements de l’île qui souffrent eux aussi d'une grande tension hospitalière. Ils craignent dans les semaines à venir, de véritables conséquences sur l’offre de soins dans les hôpitaux et chez les libéraux.
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