Marcel Francisci a ouvert la journée en présidant un Comité départemental. Devant une centaine de cadres et d'élus venus de tous le département, il a profité de l'occasion pour fixer le cap des les prochaines années qui doivent, selon son expression, "être des années utiles à la Corse et aux corses". Clairement les municipales sont dans tous les esprits. "La reconquête des territoires est une priorité affichée: commune par commune", confirme un cadre du mouvement.
Après le rapport financoer le rapport d'activités s'est attardé sur une année contrastée: plusieurs références, un brin nostalgique, à la campagne présidentielle qui "s'est finie comme on sait". L'assemblée a cependant fait preuve de beaucoup plus d'enthousiasme quand il s'est agi d'évoquer les législatives avec la réélection de Camille de Rocca Serra et surtout la belle et prometteuse victoire de Laurent Marcangeli dans la circonscription d'Ajaccio. Avec un chiffre à retenir 1312 adhérents à la fin de l'année dernière.
A l'heure du débat sur les "réformes du gouvernement en matière électorale", qui a suivi, Laurent Marcangeli a attaqué, d'emblée, la modification du mode de scrutin et du découpage pour les élections cantonales en la qualifiant de "dépeçage territorial".
Camille de Rocca Serra a, pour sa part, enfoncé le clou en désignant ces réformes qui sont en "total décalage avec l'urgence économique et sociale".
"Comptons d'abord sur nos idées"
Pas moins de 400 personnes, se sont ensuite retrouvées en séance plénière à l'hôtel-club Marina Viva pour écouter les orateurs. C'est Valérie Bozzi qui a ouvert l'Assemblée générale. Son intervention très offensive a traduit la volonté de lancer la campagne municipale sans attendre. A leur manière, les deux députés ne dirent pas autre chose. La gauche au pouvoir a été l'objet de nombreuses critiques. Mais, rappelait Marcel Francisci, "comptons d'abord sur nos idées et pas seulement sur l'échec de nos adversaires pour gagner à nouveau la confiance de nos compatriotes".
Après le rapport financoer le rapport d'activités s'est attardé sur une année contrastée: plusieurs références, un brin nostalgique, à la campagne présidentielle qui "s'est finie comme on sait". L'assemblée a cependant fait preuve de beaucoup plus d'enthousiasme quand il s'est agi d'évoquer les législatives avec la réélection de Camille de Rocca Serra et surtout la belle et prometteuse victoire de Laurent Marcangeli dans la circonscription d'Ajaccio. Avec un chiffre à retenir 1312 adhérents à la fin de l'année dernière.
A l'heure du débat sur les "réformes du gouvernement en matière électorale", qui a suivi, Laurent Marcangeli a attaqué, d'emblée, la modification du mode de scrutin et du découpage pour les élections cantonales en la qualifiant de "dépeçage territorial".
Camille de Rocca Serra a, pour sa part, enfoncé le clou en désignant ces réformes qui sont en "total décalage avec l'urgence économique et sociale".
"Comptons d'abord sur nos idées"
Pas moins de 400 personnes, se sont ensuite retrouvées en séance plénière à l'hôtel-club Marina Viva pour écouter les orateurs. C'est Valérie Bozzi qui a ouvert l'Assemblée générale. Son intervention très offensive a traduit la volonté de lancer la campagne municipale sans attendre. A leur manière, les deux députés ne dirent pas autre chose. La gauche au pouvoir a été l'objet de nombreuses critiques. Mais, rappelait Marcel Francisci, "comptons d'abord sur nos idées et pas seulement sur l'échec de nos adversaires pour gagner à nouveau la confiance de nos compatriotes".