U Riacquistu di Portivecchju a toujours prôné, dans le cadre communal, la prise en compte de l'activité de plaisance, particulièrement par la maîtrise des infrastructures adéquates. Cela participe au développement touristique de notre territoire.
Le secteur touristique de notre région, qui suppose une spécialisation territoriale, s'intègre aux réalités environnementales, qui engendre une valorisation de l'image de Portivecchju, et de la Corse.
L'activité de plaisance ne peut que se concevoir dans cette optique. Elle ne peut décemment, au prétexte que la mer est libre, participer aux saccages des endroits maritimes et côtiers, particulièrement en permettant une sur- fréquentation abusive des zones maritimes sensibles comme le sont - par exemple - les bouches de Bunifaziu.
L'annulation - par le parlement français - de la taxe de mouillage adoptée par la Collectivité de Corse démontre une nouvelle fois l'incompatibilité des intérêts corses et francais, particulièrement en matière d'aménagement, de respect et de gestion des territoires, des espaces naturels et marins.
U Riacquistu di Portivecchju dénonce cette annulation qui porte un nouveau coup au principe de respect d'un souhait majoritairement exprimé. Cela démontre tout autant l'inadaptation des textes législatifs en vigueur par rapport aux réalités de la Corse.
Si la concertation doit continuellement se maintenir avec l'ensemble des acteurs du secteur touristique, et plus précisément dans ce cas, avec les professionnels insulaires du nautisme, les fédérations et les associations de plaisanciers et de navigateurs, et les constructeurs, on ne peut perdre de vue que léconomie touristique corse ne peut que se développer de façon pérenne en lui assurant les moyens de son affirmation et de sa transition écologique.
L'annulation de la taxe de mouillage - par le parlement francais - n'est qu'une nouvelle démonstration d'un schéma tout - tourisme qui nous est imposé et dont on subit, dans la cité du sel comme ailleurs en Corse, les effets néfastes.
A Corsica si farà da par idda !
Le secteur touristique de notre région, qui suppose une spécialisation territoriale, s'intègre aux réalités environnementales, qui engendre une valorisation de l'image de Portivecchju, et de la Corse.
L'activité de plaisance ne peut que se concevoir dans cette optique. Elle ne peut décemment, au prétexte que la mer est libre, participer aux saccages des endroits maritimes et côtiers, particulièrement en permettant une sur- fréquentation abusive des zones maritimes sensibles comme le sont - par exemple - les bouches de Bunifaziu.
L'annulation - par le parlement français - de la taxe de mouillage adoptée par la Collectivité de Corse démontre une nouvelle fois l'incompatibilité des intérêts corses et francais, particulièrement en matière d'aménagement, de respect et de gestion des territoires, des espaces naturels et marins.
U Riacquistu di Portivecchju dénonce cette annulation qui porte un nouveau coup au principe de respect d'un souhait majoritairement exprimé. Cela démontre tout autant l'inadaptation des textes législatifs en vigueur par rapport aux réalités de la Corse.
Si la concertation doit continuellement se maintenir avec l'ensemble des acteurs du secteur touristique, et plus précisément dans ce cas, avec les professionnels insulaires du nautisme, les fédérations et les associations de plaisanciers et de navigateurs, et les constructeurs, on ne peut perdre de vue que léconomie touristique corse ne peut que se développer de façon pérenne en lui assurant les moyens de son affirmation et de sa transition écologique.
L'annulation de la taxe de mouillage - par le parlement francais - n'est qu'une nouvelle démonstration d'un schéma tout - tourisme qui nous est imposé et dont on subit, dans la cité du sel comme ailleurs en Corse, les effets néfastes.
A Corsica si farà da par idda !