
Photo illustration archives CNI
Après avoir adressé un message fraternel à la famille d’Yvan Colonna, toujours dans un état très grave après son agression le 2 mars dernier à la centrale d'Arles, le FLNC revient sur tensions qui agitent la Corse depuis deux semaines et dénonce "le déni méprisant" de l'Etat qui "vient d'être porté à son paroxysme avec la monstrueuse tentative d'assassinat d'Yvan Colonna à Arles qui n’a entrainé absolument aucune réaction de l'Exécutif français".
Nous apportons notre soutien à la jeunesse corse en lutte
"Le mépris engendre la colère, et la colère entraîne la révolte. Et chez nous, la révolte provoque l'insurrection" prévient l'organisation clandestine qui salue l'action de "la jeunesse de notre pays " qui "s'est emparée de la révolte à notre place."
Le FLNC, qui avait officiellement déposé les armes en 2014, au terme de quatre décennies de lutte armée marquées par plus de 4.500 attentats revendiqués, indique que ce soutien à la jeunesse pourrait se transformer. "Si l'État demeurait encore sourd, alors il ne pourra y avoir de sacrifice de la jeunesse qui n'entraîne une réaction proportionnée de notre part" . Le communiqué se termine avec un avertissement : "rapidement, les combats de la rue d'aujourd'hui seront ceux du maquis de la nuit de demain".
Nous apportons notre soutien à la jeunesse corse en lutte
"Le mépris engendre la colère, et la colère entraîne la révolte. Et chez nous, la révolte provoque l'insurrection" prévient l'organisation clandestine qui salue l'action de "la jeunesse de notre pays " qui "s'est emparée de la révolte à notre place."
Le FLNC, qui avait officiellement déposé les armes en 2014, au terme de quatre décennies de lutte armée marquées par plus de 4.500 attentats revendiqués, indique que ce soutien à la jeunesse pourrait se transformer. "Si l'État demeurait encore sourd, alors il ne pourra y avoir de sacrifice de la jeunesse qui n'entraîne une réaction proportionnée de notre part" . Le communiqué se termine avec un avertissement : "rapidement, les combats de la rue d'aujourd'hui seront ceux du maquis de la nuit de demain".