Ils n’étaient que quatre en l’absence de Frédéric Antonpietri, ancien leader d’I Cantelli, bloqué sur Bastia. Mais l’absence de cette référence du rock en Corse ne s’est jamais fait sentir au cours d’une soirée dédiée au « Contraversu ».
Le contraversu, une idée de Michel Solinas, inspiré par le groupe « The Pogues », celle de revisiter les chants traditionnels corses façon rock. Une idée vieille de… 20 ans, relancée en 2014 avec Frédéric Antonpietri, plus connu sous le patronyme de « Tonton ».
Deux ans après, le résultat présenté au café-concert « Le Temple » à Ajaccio, a été tout simplement extraordinaire, emballant un public ravi, parmi lesquels figuraient Jean-Marc Ceccaldi et Antoine Marielli. Mais aussi quelques enseignants, venus voir leur collègue Michel Solinas. Ce dernier a régalé l’assistance à la mandoline, au violon ou à l’harmonica autant qu’avec sa voix. Une belle surprise pour cet enfant du riacquistu dont on connaissait le talent au niveau de la musique traditionnel.
A ses côtés, Marcantò Mucchielli, un jeune ajaccien très prometteur à la guitare électrique, Dumè Tomasi, une référence, à la basse et Bruno Vidal, lui aussi très connu dans le monde culturel, à la batterie.
U contraversu a fait, il faut le souligner, un tabac au Temple avec des chansons traditionnelles revues et corrigées façon rock comme « Cinciminellu », « O putanò », « Chì bella vita », ou encore « O Ghjuvan Filì’ magistralement interprétée par Marcantò Mucchielli. En guise d’ouverture et de fermeture, une danse trad irlandaise avec « u Ziu » à la mandoline. Le tout, agrémenté de reprises de Dylan et Springsteen.
Du grand art et une équipe qui devrait certainement refaire parler d’elle…
Le contraversu, une idée de Michel Solinas, inspiré par le groupe « The Pogues », celle de revisiter les chants traditionnels corses façon rock. Une idée vieille de… 20 ans, relancée en 2014 avec Frédéric Antonpietri, plus connu sous le patronyme de « Tonton ».
Deux ans après, le résultat présenté au café-concert « Le Temple » à Ajaccio, a été tout simplement extraordinaire, emballant un public ravi, parmi lesquels figuraient Jean-Marc Ceccaldi et Antoine Marielli. Mais aussi quelques enseignants, venus voir leur collègue Michel Solinas. Ce dernier a régalé l’assistance à la mandoline, au violon ou à l’harmonica autant qu’avec sa voix. Une belle surprise pour cet enfant du riacquistu dont on connaissait le talent au niveau de la musique traditionnel.
A ses côtés, Marcantò Mucchielli, un jeune ajaccien très prometteur à la guitare électrique, Dumè Tomasi, une référence, à la basse et Bruno Vidal, lui aussi très connu dans le monde culturel, à la batterie.
U contraversu a fait, il faut le souligner, un tabac au Temple avec des chansons traditionnelles revues et corrigées façon rock comme « Cinciminellu », « O putanò », « Chì bella vita », ou encore « O Ghjuvan Filì’ magistralement interprétée par Marcantò Mucchielli. En guise d’ouverture et de fermeture, une danse trad irlandaise avec « u Ziu » à la mandoline. Le tout, agrémenté de reprises de Dylan et Springsteen.
Du grand art et une équipe qui devrait certainement refaire parler d’elle…