« L’enjeu est important pour les régions Européennes, pour les régions insulaires et pour la Corse. » a déclaré la présidente de l’ATC depuis Sofia. Dans le cadre de ses fonctions de conseillère exécutive en charge des affaires Européennes, Marie-Antoinette Maupertuis a été désignée mercredi soir à Sofia (Bulgarie), par le comité des régions, "rapporteure*" de la prochaine politique de cohésion 2021-2027. Une politique dont l’enveloppe s’élève à 9, 5 milliards d’Euros.
Le 2 Mai dernier, la commission Européenne a voté son cadre financier pluriannuel pour la période 2021-2027. A cette occasion, des coups de rabots ont été donnés à la politique de cohésion ainsi qu’à la politique Agricole commune (PAC). Une baisse des dotations de l’ordre de 10% a ainsi été actée. En tout état de cause, il faut savoir que la mise en œuvre de ces politiques (politique de cohésion et politique agricole commune) obéit à des règlements qui ont été finalisés par la commission Européenne 29 Mai dernier.
Dans la foulée, le comité des régions a été saisi au sujet notamment de la politique de coopération territoriale européenne. Cette dernière se décompose en 3 parties :
J. F.
« *Hier, le comité des régions a une nouvelles fois été saisi. Cette fois ci, il s’agissait de désigner son rapporteur. C’est à cette occasion que ma désignation est intervenue. L’enjeu est important pour les régions Européennes, les régions insulaires. Et pour la Corse, Cela pour plusieurs raisons :
Le 2 Mai dernier, la commission Européenne a voté son cadre financier pluriannuel pour la période 2021-2027. A cette occasion, des coups de rabots ont été donnés à la politique de cohésion ainsi qu’à la politique Agricole commune (PAC). Une baisse des dotations de l’ordre de 10% a ainsi été actée. En tout état de cause, il faut savoir que la mise en œuvre de ces politiques (politique de cohésion et politique agricole commune) obéit à des règlements qui ont été finalisés par la commission Européenne 29 Mai dernier.
Dans la foulée, le comité des régions a été saisi au sujet notamment de la politique de coopération territoriale européenne. Cette dernière se décompose en 3 parties :
- La politique transnationale
- La politique interrégionale
- La politique transfrontalière
J. F.
« *Hier, le comité des régions a une nouvelles fois été saisi. Cette fois ci, il s’agissait de désigner son rapporteur. C’est à cette occasion que ma désignation est intervenue. L’enjeu est important pour les régions Européennes, les régions insulaires. Et pour la Corse, Cela pour plusieurs raisons :
- Les programmes comme Interreg sont fondamentaux pour la cohésion et l’intégration de régions au sein de l’union
- La politique de coopération permet de générer de la valeur ajoutée Européenne puisqu’elle couvre des projets transversaux tels que ceux liés au tourisme, à la culture, aux transports