- Votre parcours ?
- J'ai joué de jeune pousse à jusqu'à junior à Portet-sur-Garonne tout près de Toulouse. Je suis passé ensuite à Villefranche-de-Lauragais ou j'ai évolué de Reichel jusqu'en seniors. Et aujourd'hui me voilà à Bastiais.
- Comment et Pourquoi Bastia XV ?
- C'est Sam Lacombe qui m'a contacté. Il recherchait un 9-10. Quand on est de la région toulousaine et qu'un Sam Lacombe vous appelle, vous n'hésitez pas. Dès lors, même si je m'étais attaché à A Villefrance-de-Lauragais, le fait qu'il m'ait demandé de venir le rejoindre et, la perspective de suivre, parallèlement, une formation d'éducateur sportif à Bastia XV, ont fait pencher la balance du côté de la Corse.
- Vous ne regrettez pas de quitter une terre de rugby comme le Sud-Ouest pour la Corse?
- On regrette toujours de quitter l'endroit d'où on est… Mais je pense que ça me fera du bien. J'avais besoin de ça. Il me fallait découvrir autre chose…
- Premières impressions ?
- Pour l'instant je me sens très bien ici. Et je sens que ça va durer. Par ailleurs, et ce n'est pas le moins important, j'ai l'impression d'avoir été assez bien intégré à l'équipe, même, si je sais, qu'il va falloir encore bosser dur pour faire mieux encore.
- Bastia XV ?
- Il y a des valeurs de combat. Collectivement ce n'est pas aussi rôdé qu'à Villefranche-de-Lauragais, mais il y a des individualités qui sont vraiment pas mal. Il y a donc de quoi travailler. Et comme les gars ont envie et qu'ils sont là, présents et réguliers, je pense que l'on peut faire quelque chose de sympa…
- Après Nice, Berre : encore une grosse cylindrée dimanche au Casone ?
- Quel que soit l'adversaire, nous sommes dans une position où il faut prendre les matches les uns après les autres. Berre ou pas Berre pour moi, c'est pareil. Bien sûr, il s'agit d'une équipe plus solide que celle de Draguignan battue il y a quinze jours, mais si nous remettons en place le match de Nice en améliorant ce qui n'a pas fonctionné là-bas, notamment la réussite et les tirs au but, nous pourrons mettre en œuvre les ingrédients malmener les Provençaux…
- Un pronostic pour la saison ?
- On va commencer par viser le maintien et une fois que nous l'aurons obtenu, je pense qu'il y aura, aussi, de quoi faire pour la qualification…
- J'ai joué de jeune pousse à jusqu'à junior à Portet-sur-Garonne tout près de Toulouse. Je suis passé ensuite à Villefranche-de-Lauragais ou j'ai évolué de Reichel jusqu'en seniors. Et aujourd'hui me voilà à Bastiais.
- Comment et Pourquoi Bastia XV ?
- C'est Sam Lacombe qui m'a contacté. Il recherchait un 9-10. Quand on est de la région toulousaine et qu'un Sam Lacombe vous appelle, vous n'hésitez pas. Dès lors, même si je m'étais attaché à A Villefrance-de-Lauragais, le fait qu'il m'ait demandé de venir le rejoindre et, la perspective de suivre, parallèlement, une formation d'éducateur sportif à Bastia XV, ont fait pencher la balance du côté de la Corse.
- Vous ne regrettez pas de quitter une terre de rugby comme le Sud-Ouest pour la Corse?
- On regrette toujours de quitter l'endroit d'où on est… Mais je pense que ça me fera du bien. J'avais besoin de ça. Il me fallait découvrir autre chose…
- Premières impressions ?
- Pour l'instant je me sens très bien ici. Et je sens que ça va durer. Par ailleurs, et ce n'est pas le moins important, j'ai l'impression d'avoir été assez bien intégré à l'équipe, même, si je sais, qu'il va falloir encore bosser dur pour faire mieux encore.
- Bastia XV ?
- Il y a des valeurs de combat. Collectivement ce n'est pas aussi rôdé qu'à Villefranche-de-Lauragais, mais il y a des individualités qui sont vraiment pas mal. Il y a donc de quoi travailler. Et comme les gars ont envie et qu'ils sont là, présents et réguliers, je pense que l'on peut faire quelque chose de sympa…
- Après Nice, Berre : encore une grosse cylindrée dimanche au Casone ?
- Quel que soit l'adversaire, nous sommes dans une position où il faut prendre les matches les uns après les autres. Berre ou pas Berre pour moi, c'est pareil. Bien sûr, il s'agit d'une équipe plus solide que celle de Draguignan battue il y a quinze jours, mais si nous remettons en place le match de Nice en améliorant ce qui n'a pas fonctionné là-bas, notamment la réussite et les tirs au but, nous pourrons mettre en œuvre les ingrédients malmener les Provençaux…
- Un pronostic pour la saison ?
- On va commencer par viser le maintien et une fois que nous l'aurons obtenu, je pense qu'il y aura, aussi, de quoi faire pour la qualification…