" Aucun des sujets posés par la majorité territoriale, et au-delà par l'ensemble des forces vives de ce pays, y compris ceux votés à une large majorité, voire à l'unanimité par l'assemblée de Corse n'a fait, jusqu'à ce jour, l'objet d'un dialogue sérieux de la part du Président de la République et du Gouvernement. "
C'est pour cette raison que les militants nationalistes de "Pè a Corsica" étaient présents ce mercredi matin, 27 mars, à l'Alb'oru à Bastia, afin de "dénoncer" la nouvelle venue d'Emmanuel Macron en Corse, qu'ils qualifient de "show de communication" et de "parodie de consultation".
Considérant que "tous les signaux politiques envoyés par l'Etat et le Gouvernement sont constitutifs d'une formidable régression", ils en ont appelé à une mobilisation "massive, citoyenne et pacifique" traduite par une interruption de toute l'activité dans l'île de 12 à 18 heures le 4 avril soit "pendant le temps du pseudo-débat organisé par Emmanuel Macron".
La coalition a également précisé que ce n'était que "le début d'une mobilisation sur le long terme de la société corse" en indiquant que "lorsque il y a déni de démocratie envers un peuple, c'est à ce peuple que l'on dit non et pas seulement à ses élus".
Par ailleurs, un cycle de rencontres devrait s'engager dès aujourd'hui avec l'ensemble des maires, élus consulaires, partis politiques, syndicats, collectifs citoyens et forces vives "qui souhaitent que les aspirations légitimes de la Corse et de son peuple soient respectées et prises en compte."
C'est pour cette raison que les militants nationalistes de "Pè a Corsica" étaient présents ce mercredi matin, 27 mars, à l'Alb'oru à Bastia, afin de "dénoncer" la nouvelle venue d'Emmanuel Macron en Corse, qu'ils qualifient de "show de communication" et de "parodie de consultation".
Considérant que "tous les signaux politiques envoyés par l'Etat et le Gouvernement sont constitutifs d'une formidable régression", ils en ont appelé à une mobilisation "massive, citoyenne et pacifique" traduite par une interruption de toute l'activité dans l'île de 12 à 18 heures le 4 avril soit "pendant le temps du pseudo-débat organisé par Emmanuel Macron".
La coalition a également précisé que ce n'était que "le début d'une mobilisation sur le long terme de la société corse" en indiquant que "lorsque il y a déni de démocratie envers un peuple, c'est à ce peuple que l'on dit non et pas seulement à ses élus".
Par ailleurs, un cycle de rencontres devrait s'engager dès aujourd'hui avec l'ensemble des maires, élus consulaires, partis politiques, syndicats, collectifs citoyens et forces vives "qui souhaitent que les aspirations légitimes de la Corse et de son peuple soient respectées et prises en compte."
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