Autopsie pratiquée
Etait-ce la cible ou non ? Une chose est certaine, la personne en question a déjà fait l’objet d’un guet-apens il y a quelques années. Il aurait l’habitude de circuler à bord du même véhicule que celui de la victime, à savoir un 4X4 Navara de marque Nissan noir. « Nous avons certes à faire au même type de véhicule, mais rien n'est encore établi avec précision. Il pourrait y en avoir d’autre de ce type, qui sait », a rappelé l’un des enquêteurs il y a deux jours.
L’autopsie de Jean Livrelli a été pratiquée lundi. La victime a bien reçu une décharge dans le thorax et dans l’abdomen, ainsi qu’à la tête. Mais rien d’autre n’a filtré du parquet. Au village, les langues se délient et l’on peut entendre bon nombre de commentaires fuser sur les circonstances de la fusillade de l’autre jour. Certains proches de la victime semblent confiants et n’hésitent pas à le déclarer quant à la suite de l’enquête. Souvent, la même phrase revient dans les conversations : « Il est mort à la place d'un autre et cela chacun s’accorde à le reconnaitre !»
Tué par erreur ?
La méprise des tireurs est bien "une piste que les gendarmes de la section de recherches en charge de l'enquête vont exploiter, comme les autres", a reconnu dimanche le parquet. d'Ajaccio. Il a même été précisé que le guet-apens dans lequel est tombée la victime jeudi à l'aube, vers 6 heures du matin, sur la route du Val d'Ese, avait été tendu "par au moins deux hommes".
Il va sans dire que de nombreuses personnes ont déjà été entendues par les enquêteurs. Parmi elles, "l'une des personnes qui aurait pu être visée au regard de ses trajets quotidiens avec un véhicule similaire à celui de la victime, » a confirmé le procureur. Cet homme, présenté comme proche du grand banditisme, aurait "nié" être "en danger", selon la même source.
Les enquêteurs ont également confirmé que la voiture utilisée pour ce crime aurait été volée sur le continent. Les plaques d'immatriculation, italiennes, "ont en revanche été volées en Corse il y a peu de temps" a ajouté M. Bouillard, qui a précisé que d’autres personnes seront interrogées dans les prochains jours.
Etait-ce la cible ou non ? Une chose est certaine, la personne en question a déjà fait l’objet d’un guet-apens il y a quelques années. Il aurait l’habitude de circuler à bord du même véhicule que celui de la victime, à savoir un 4X4 Navara de marque Nissan noir. « Nous avons certes à faire au même type de véhicule, mais rien n'est encore établi avec précision. Il pourrait y en avoir d’autre de ce type, qui sait », a rappelé l’un des enquêteurs il y a deux jours.
L’autopsie de Jean Livrelli a été pratiquée lundi. La victime a bien reçu une décharge dans le thorax et dans l’abdomen, ainsi qu’à la tête. Mais rien d’autre n’a filtré du parquet. Au village, les langues se délient et l’on peut entendre bon nombre de commentaires fuser sur les circonstances de la fusillade de l’autre jour. Certains proches de la victime semblent confiants et n’hésitent pas à le déclarer quant à la suite de l’enquête. Souvent, la même phrase revient dans les conversations : « Il est mort à la place d'un autre et cela chacun s’accorde à le reconnaitre !»
Tué par erreur ?
La méprise des tireurs est bien "une piste que les gendarmes de la section de recherches en charge de l'enquête vont exploiter, comme les autres", a reconnu dimanche le parquet. d'Ajaccio. Il a même été précisé que le guet-apens dans lequel est tombée la victime jeudi à l'aube, vers 6 heures du matin, sur la route du Val d'Ese, avait été tendu "par au moins deux hommes".
Il va sans dire que de nombreuses personnes ont déjà été entendues par les enquêteurs. Parmi elles, "l'une des personnes qui aurait pu être visée au regard de ses trajets quotidiens avec un véhicule similaire à celui de la victime, » a confirmé le procureur. Cet homme, présenté comme proche du grand banditisme, aurait "nié" être "en danger", selon la même source.
Les enquêteurs ont également confirmé que la voiture utilisée pour ce crime aurait été volée sur le continent. Les plaques d'immatriculation, italiennes, "ont en revanche été volées en Corse il y a peu de temps" a ajouté M. Bouillard, qui a précisé que d’autres personnes seront interrogées dans les prochains jours.