Le communiqué
Une fois de plus, la Corse montre la voie à un pays qui s’est perdu sur le chemin de sa propre histoire.
Par la nocivité extrême de son action, le camp mondialiste marche droit au réveil des intérêts de «l’empire français» auquel nous, Corses, avons adhéré le 30 novembre 1789.
Le score sur le Continent de Marine Le Pen atteste du renforcement inexorable du parti national, de l’affermissement de ses idées, et, donc, que la promesse de léguer à nos enfants un pays sûr n’est plus vaine. L’heure du grand redressement approche. En attendant ce moment, une majorité de Français a estimé qu’il fallait reconduire Macron.
Nous, Corses, avons de la mémoire. Nous avons jugé plus raisonnable d’offrir un plébiscite à Marine Le Pen et à son projet de restauration du pays et de réorientation de l’Europe, en faisant de la Corse, comme en 2017, la première région bleue marine de France.
L’historien que je suis s’intéresse aux faits, proches et lointains pout comprendre les enjeux du présent. Au premier tour, la Corse offrait à Éric Zemmour son score le plus haut, et plaçait Marine Le Pen en tête. En 1992, alors que le Continent ratifiait par référendum le traité de Maastricht, la Corse l’a rejeté. Elle pressentait que la marche eurofédéraliste qui débutait lui serait funeste. Le globalisme, financier et apatride, au service duquel agit l’État, annihile culture et tradition. Il est la cause première des périls qui nous menacent.
Le peuple corse est décidément d’un marbre dont sont faites les civilisations les plus hautes, car les plus clairvoyantes. Une fois de plus, la Corse montre la voie à un pays qui s’est perdu sur le chemin de sa propre histoire.
Par la nocivité extrême de son action, le camp mondialiste marche droit au réveil des intérêts de «l’empire français» auquel nous, Corses, avons adhéré le 30 novembre 1789.
Le score sur le Continent de Marine Le Pen atteste du renforcement inexorable du parti national, de l’affermissement de ses idées, et, donc, que la promesse de léguer à nos enfants un pays sûr n’est plus vaine. L’heure du grand redressement approche. En attendant ce moment, une majorité de Français a estimé qu’il fallait reconduire Macron.
Nous, Corses, avons de la mémoire. Nous avons jugé plus raisonnable d’offrir un plébiscite à Marine Le Pen et à son projet de restauration du pays et de réorientation de l’Europe, en faisant de la Corse, comme en 2017, la première région bleue marine de France.
L’historien que je suis s’intéresse aux faits, proches et lointains pout comprendre les enjeux du présent. Au premier tour, la Corse offrait à Éric Zemmour son score le plus haut, et plaçait Marine Le Pen en tête. En 1992, alors que le Continent ratifiait par référendum le traité de Maastricht, la Corse l’a rejeté. Elle pressentait que la marche eurofédéraliste qui débutait lui serait funeste. Le globalisme, financier et apatride, au service duquel agit l’État, annihile culture et tradition. Il est la cause première des périls qui nous menacent.
Le peuple corse est décidément d’un marbre dont sont faites les civilisations les plus hautes, car les plus clairvoyantes. Une fois de plus, la Corse montre la voie à un pays qui s’est perdu sur le chemin de sa propre histoire.

Olivier Battistini est Cordonnateur régional pour la Corse et orateur national du mouvement « Reconquête » d'Éric Zemmour. Photo : OB