Refus d'apurement des aides PAC: précisions sur la situation insulaire
L’information est l’un des droits les plus précieux, et il y a une règle pour tout journaliste digne de ce nom : la vérification des informations énoncées. Par conséquent, nous sommes en droit de nous poser ces deux questions : S’agit-il d’incompétence ? S’agit-il de malveillance, à l’égard une nouvelle fois de la Corse ? Certainement, s’agit-il des deux !
Dans la réalité, le montant des aides surfaciques sur la Haute-Corse, qui aurait été indûment versé, est, d’une part, inférieur à 5% du total réclamé à la France, et d’autre part, lié, en aucune façon, à une fraude constatée.
Le refus d’apurement des aides PAC découle d’une non-conformité réglementaire que nous regrettons par ailleurs. L’Etat et l’ensemble de ses services ont une part de responsabilité, dans la limite où ils ont été dans l’incapacité la plus totale, lors de la dernière programmation, de motiver la spécificité de nos surfaces, de les faire reconnaitre au niveau de la Commission Européenne, et surtout de les valoriser. Un travail qui est exercé au quotidien par les agriculteurs, dont les productions identitaires à forte valeur ajoutée découlent de ces surfaces non reconnues au niveau Européen.
Les agriculteurs insulaires ne sont en aucun cas des fraudeurs ou des profiteurs d’aides, précisant bien que la Corse est la dernière région de France, en termes d’aide surfacique à l’hectare. L’agriculture corse est riche de filières et de signes de qualité qui font aujourd’hui sa renommée malgré des contraintes physiques et environnementales méconnues par la Commission Européenne.
On tendrait presque à travers ces propos et cette mauvaise volonté, à vouloir faire croire que l’agriculture corse n’existe pas !!! Il est vrai que nous ne produisons, ni Fromage, ni Brocciu, ni Figatelli... Pourquoi la Corse est donc la région la plus visitée au Salon International de l’Agriculture ? Jamais, les agriculteurs corses ne braderont leurs terres et leurs savoir-faire. A ce jour, nous ne pouvons plus accepter que des technocrates Bruxellois donnent des leçons aux acteurs de terrain que nous sommes en occultant nos spécificités et réalités !
Dans la réalité, le montant des aides surfaciques sur la Haute-Corse, qui aurait été indûment versé, est, d’une part, inférieur à 5% du total réclamé à la France, et d’autre part, lié, en aucune façon, à une fraude constatée.
Le refus d’apurement des aides PAC découle d’une non-conformité réglementaire que nous regrettons par ailleurs. L’Etat et l’ensemble de ses services ont une part de responsabilité, dans la limite où ils ont été dans l’incapacité la plus totale, lors de la dernière programmation, de motiver la spécificité de nos surfaces, de les faire reconnaitre au niveau de la Commission Européenne, et surtout de les valoriser. Un travail qui est exercé au quotidien par les agriculteurs, dont les productions identitaires à forte valeur ajoutée découlent de ces surfaces non reconnues au niveau Européen.
Les agriculteurs insulaires ne sont en aucun cas des fraudeurs ou des profiteurs d’aides, précisant bien que la Corse est la dernière région de France, en termes d’aide surfacique à l’hectare. L’agriculture corse est riche de filières et de signes de qualité qui font aujourd’hui sa renommée malgré des contraintes physiques et environnementales méconnues par la Commission Européenne.
On tendrait presque à travers ces propos et cette mauvaise volonté, à vouloir faire croire que l’agriculture corse n’existe pas !!! Il est vrai que nous ne produisons, ni Fromage, ni Brocciu, ni Figatelli... Pourquoi la Corse est donc la région la plus visitée au Salon International de l’Agriculture ? Jamais, les agriculteurs corses ne braderont leurs terres et leurs savoir-faire. A ce jour, nous ne pouvons plus accepter que des technocrates Bruxellois donnent des leçons aux acteurs de terrain que nous sommes en occultant nos spécificités et réalités !