Dans la vie, parfois, des évènements joyeux ou tragiques invitent à la réflexion, à l’introspection. Des moments qui poussent à sortir des sentiers battus et ouvrent des perspectives vers la création. Pour Jessie Allegrini, c’est le décès de sa grand-mère en 2021 qui l’a amenée à se pencher vers un univers qui, pour le moment, lui était totalement inconnu. La jeune femme fonctionnaire du ministère de la Justice a, elle, ressenti, lors de ce deuil, le besoin de coucher sur le papier ses émotions. Son ressenti. « Cela a été pour mon un élément déclencheur. J’ai été très touchée par cette disparition. Une douleur immense m’a considérablement affectée. J’ai eu le besoin d’écrire. » Un exutoire pour oublier le décès de cette grand-mère. Mais dans pareil cas, souvent, le projet d’un roman est déposé au fond d’un tiroir. Le temps sans doute, nécessaire, à une maturation pour arriver au bout.
Quatre années de maturation
Pendant quatre ans, ce projet restera au stade d’ébauche. Il faudra un voyage aux Antilles avec des amies pour redonner à Jessie Allegrini l’envie de se remettre à écrire. « Pendant ces vacances avec quatre amies, nous avions chacune emporté avec nous nos « spécialités ésotériques en quelque sorte. Chacune dans un domaine particulier. Et c’est à notre retour à Paris que Lydia, qui était du voyage aux Antilles, m’a dit je vais raconter nos vacances dans un roman qui s’intitulera La kaz aux sorcières. »
Il n’en fallait pas davantage à Jessie Allegrini pour reprendre son roman où elle l’avait laissé quatre années auparavant. « À ce moment-là, l’inspiration m’est revenue naturellement. Je me suis remise à écrire sur cette femme, happée par une passion fulgurante. Gagnée par la désillusion et aussi victime de la manipulation affective, elle va se livrer à une analyse de sa vie pour tenter de s’y retrouver. Sortir d’une relation toxique. En étudier les mécanismes pour parvenir à se réconcilier avec soi-même. Je livre un roman introspectif. J’invite le lecteur, je pense, à réfléchir sur notre relation à l’autre. »
Tous les paradoxes du tout et son contraire
Pour parvenir à ses fins, la jeune autrice effectue des recherches multiples. Elle s’aide de ses précédentes lectures et part d’un page blanche pour au final livrer un roman d’une belle facture qui « passe en revue tous les paradoxes du tout et son contraire. » Une oeuvre qui ne se veut pas moralisatrice, bien au contraire. « J’y livre ma propre conclusion, mais sans jamais en faire une réalité absolue, mais plutôt aider au discernement et à l’introspection »
C’est sans doute de là que découle le titre de ce premier roman « Le cœur en miroir ». « L’image est assez forte. Lorsqu’on se regarde, on voit son enveloppe charnelle, mais il faut se plonger dans son for intérieur pour contempler son cœur et son âme. Une métaphore qui touche toutes les personnes en quête de soi. »
Un chemin qui se dessine au fil des pages. Un parcours qui mène vers la liberté intérieure. Une itinérance révélatrice de l’âme . Un roman qui ne laissera pas le lecteur indifférent. Une première oeuvre qui touchera tous ceux qui pendront le temps de se plonger dans le cœur en miroir de Jessie Allegrini.
Disponible sur Amazon
Quatre années de maturation
Pendant quatre ans, ce projet restera au stade d’ébauche. Il faudra un voyage aux Antilles avec des amies pour redonner à Jessie Allegrini l’envie de se remettre à écrire. « Pendant ces vacances avec quatre amies, nous avions chacune emporté avec nous nos « spécialités ésotériques en quelque sorte. Chacune dans un domaine particulier. Et c’est à notre retour à Paris que Lydia, qui était du voyage aux Antilles, m’a dit je vais raconter nos vacances dans un roman qui s’intitulera La kaz aux sorcières. »
Il n’en fallait pas davantage à Jessie Allegrini pour reprendre son roman où elle l’avait laissé quatre années auparavant. « À ce moment-là, l’inspiration m’est revenue naturellement. Je me suis remise à écrire sur cette femme, happée par une passion fulgurante. Gagnée par la désillusion et aussi victime de la manipulation affective, elle va se livrer à une analyse de sa vie pour tenter de s’y retrouver. Sortir d’une relation toxique. En étudier les mécanismes pour parvenir à se réconcilier avec soi-même. Je livre un roman introspectif. J’invite le lecteur, je pense, à réfléchir sur notre relation à l’autre. »
Tous les paradoxes du tout et son contraire
Pour parvenir à ses fins, la jeune autrice effectue des recherches multiples. Elle s’aide de ses précédentes lectures et part d’un page blanche pour au final livrer un roman d’une belle facture qui « passe en revue tous les paradoxes du tout et son contraire. » Une oeuvre qui ne se veut pas moralisatrice, bien au contraire. « J’y livre ma propre conclusion, mais sans jamais en faire une réalité absolue, mais plutôt aider au discernement et à l’introspection »
C’est sans doute de là que découle le titre de ce premier roman « Le cœur en miroir ». « L’image est assez forte. Lorsqu’on se regarde, on voit son enveloppe charnelle, mais il faut se plonger dans son for intérieur pour contempler son cœur et son âme. Une métaphore qui touche toutes les personnes en quête de soi. »
Un chemin qui se dessine au fil des pages. Un parcours qui mène vers la liberté intérieure. Une itinérance révélatrice de l’âme . Un roman qui ne laissera pas le lecteur indifférent. Une première oeuvre qui touchera tous ceux qui pendront le temps de se plonger dans le cœur en miroir de Jessie Allegrini.
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