Le STC condamne avec fermeté les actions ciblant les employés de la Société Générale Balagne.
Ces actions sont des actes de provocation destinées à jeter l’opprobre sur notre organisation syndicale par des personnes à viser douteuses.
Le STC dans cette affaire a toujours choisi la voie légale et judiciaire, ayant obtenu jusque là gain de cause dans son argumentation devant les juridictions concernées et qu’il est pour le moins curieux de voir que cette action apporte de l’eau au moulin des adversaires du STC au moment précis où les juridictions sont amenées à statuer en appel sur cette affaire.
Une question se pose, à qui profite le crime ?
Ces provocations sont destinées à salir notre action syndicale. Action syndicale qui n’a que pour objet de fustiger la discrimination de l’entreprise envers les salariés locaux qu’ils soient corses ou pas.
Le recrutement des cadres et techniciens se fait au détriment de l’avancement de salariés insulaires qui postulent sur ces postes et qui auraient droit à cet avancement par leur qualité professionnelle mais que la Direction de la Société Générale préfère recruter et privilégier des salariés continentaux parce qu’ils sont d’obédience syndicale non STC.
Tous les salariés, y compris les délégués du personnel qui ont fait des demandes de progression ont vu leurs avancements bloqués depuis qu’ils ont donné pouvoir au STC pour engager une action contre la Société Générale.
Et que si discrimination il y a c’est à l’intérieure de la Société Générale qu’elle s’exerce au détriment de salariés locaux syndiqués au STC.
Nous ne perdons pas de vue que la Direction de la Société Générale est la principale responsable de ces actions qui visent à diviser les salariés et ceux qui rentrent dans le piège grossier de la division des salariés feraient mieux de balayer devant leur porte.
Le STC entend déposer plainte au pénal pour toutes les actions visant à le discréditer.
Ces actions sont des actes de provocation destinées à jeter l’opprobre sur notre organisation syndicale par des personnes à viser douteuses.
Le STC dans cette affaire a toujours choisi la voie légale et judiciaire, ayant obtenu jusque là gain de cause dans son argumentation devant les juridictions concernées et qu’il est pour le moins curieux de voir que cette action apporte de l’eau au moulin des adversaires du STC au moment précis où les juridictions sont amenées à statuer en appel sur cette affaire.
Une question se pose, à qui profite le crime ?
Ces provocations sont destinées à salir notre action syndicale. Action syndicale qui n’a que pour objet de fustiger la discrimination de l’entreprise envers les salariés locaux qu’ils soient corses ou pas.
Le recrutement des cadres et techniciens se fait au détriment de l’avancement de salariés insulaires qui postulent sur ces postes et qui auraient droit à cet avancement par leur qualité professionnelle mais que la Direction de la Société Générale préfère recruter et privilégier des salariés continentaux parce qu’ils sont d’obédience syndicale non STC.
Tous les salariés, y compris les délégués du personnel qui ont fait des demandes de progression ont vu leurs avancements bloqués depuis qu’ils ont donné pouvoir au STC pour engager une action contre la Société Générale.
Et que si discrimination il y a c’est à l’intérieure de la Société Générale qu’elle s’exerce au détriment de salariés locaux syndiqués au STC.
Nous ne perdons pas de vue que la Direction de la Société Générale est la principale responsable de ces actions qui visent à diviser les salariés et ceux qui rentrent dans le piège grossier de la division des salariés feraient mieux de balayer devant leur porte.
Le STC entend déposer plainte au pénal pour toutes les actions visant à le discréditer.