
Bonifacio vu du ciel. Photo Angèle Chopard
"Tout d’abord, nous rappelons que le PLU de Bonifacio a été adopté en 2006 sous une précédente mandature, et que le Maire actuel, alors conseiller municipal d’opposition, avait voté contre son approbation". souligne d'emblée le communiqué
"Pour autant et depuis son accession aux responsabilités en mars 2008, la municipalité demeure contrainte d’appliquer le PLU en vigueur. Et ce d’autant plus que, attaqué en 2006 dans son intégralité par les associations de défense de l’environnement, la grande majorité du PLU avait été successivement validée par le Tribunal Administratif, la Cour Administrative d’Appel puis le Conseil d’État le 9 décembre 2011" ajoute la municipalité présidée par Jean-Charles Orsucci.
"En 2008, soutenue alors par les associations de défense de l’environnement, la Municipalité prévoyait d’étendre la constructibilité notamment dans la campagne bonifacienne. Cet objectif politique constant s’est heurté depuis à l’enchevêtrement des lois et règlements qui ont impacté la procédure de révision générale du document d’urbanisme, certes imparfait mais qui avait le mérite d’exister" poursuit la municipalité qui adopté un autre ton quand il s'agit d'évoquer les conséquences de la décision de la justice administrative.
"Avec le jugement tombé ce jour, plus aucun espoir de construire dans la campagne bonifacienne n’est permis !
De plus, la Municipalité tient à insister sur les conséquences potentiellement catastrophiques pour la population bonifacienne de revenir au Règlement National d’Urbanisme, autrement dit à l’injustice et à l’anarchie en matière d’aménagement.
En dévoyant leur combat contre la spéculation, ceux qui ont demandé et obtenu l’annulation du PLU privent, dès aujourd’hui, les familles bonifaciennes de construire leur résidence principale sur leu propre terrain."
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La Municipalité s’exprimera prochainement sur les suites à donner à cette décision. Une réunion publique sur ce sujet se tiendra le vendredi 18 mars à 18h à l’espace Saint-Jacques.
"Pour autant et depuis son accession aux responsabilités en mars 2008, la municipalité demeure contrainte d’appliquer le PLU en vigueur. Et ce d’autant plus que, attaqué en 2006 dans son intégralité par les associations de défense de l’environnement, la grande majorité du PLU avait été successivement validée par le Tribunal Administratif, la Cour Administrative d’Appel puis le Conseil d’État le 9 décembre 2011" ajoute la municipalité présidée par Jean-Charles Orsucci.
"En 2008, soutenue alors par les associations de défense de l’environnement, la Municipalité prévoyait d’étendre la constructibilité notamment dans la campagne bonifacienne. Cet objectif politique constant s’est heurté depuis à l’enchevêtrement des lois et règlements qui ont impacté la procédure de révision générale du document d’urbanisme, certes imparfait mais qui avait le mérite d’exister" poursuit la municipalité qui adopté un autre ton quand il s'agit d'évoquer les conséquences de la décision de la justice administrative.
"Avec le jugement tombé ce jour, plus aucun espoir de construire dans la campagne bonifacienne n’est permis !
De plus, la Municipalité tient à insister sur les conséquences potentiellement catastrophiques pour la population bonifacienne de revenir au Règlement National d’Urbanisme, autrement dit à l’injustice et à l’anarchie en matière d’aménagement.
En dévoyant leur combat contre la spéculation, ceux qui ont demandé et obtenu l’annulation du PLU privent, dès aujourd’hui, les familles bonifaciennes de construire leur résidence principale sur leu propre terrain."
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La Municipalité s’exprimera prochainement sur les suites à donner à cette décision. Une réunion publique sur ce sujet se tiendra le vendredi 18 mars à 18h à l’espace Saint-Jacques.