Face à un concurrent direct pour le maintien, les hommes de Gilles Franceschini n'avaient pas d'autre choix de remporter ce match pour s'assurer un espoir de survie en National 1.
Il est rare le match où l'entraîneur insulaire peut faire tourner ses joueurs, mais pour cette rencontre décisive, la chance était au rendez-vous.
Il est rare le match où l'entraîneur insulaire peut faire tourner ses joueurs, mais pour cette rencontre décisive, la chance était au rendez-vous.
D'entrée de jeu, les deux équipes se testaient et produisaient un jeu identique, au point de ne pas se départager pendant une bonne vingtaine de minutes (13-13). Malgré une entame équilibrée, les affaires se compliquaient pour Saint-Egrève qui sombrait complètement et accumulait un retard de 8 buts à la pause grâce notamment à de brillantes attaques de Kévin Trousselier et d'Abdellatif Frik (23-15).
Pour réaliser un bon résultat ce samedi, le GFCA ne pouvait pas se contenter d'une simple victoire mais il fallait également gagner avec au moins 8 points d'écart pour le goal average de fin de saison.
Ne perdant pas d'esprit ce besoin de points, les hommes de Gilles Franceschini revenaient sur le terrain toujours aussi motivés. Le collectif insulaire avec ses frères Brunetti poursuivait sur le même rythme qu'en première période et enfonçait le clou face à une équipe de Saint-Egrève complètement déstabilisée.
En échec face aux cages du capitaine insulaire Marc-Antoine Coggia, les hommes de Marjan Kolev n'avaient guerre d'autre choix que de subir les assauts ajacciens, grandement menés par Hakim El Koutali, Igor Chiseliov et Quentin Erard (10 buts). L'entraîneur gazier se permettait sans trop de pression de faire souffler ses piliers comme Tony Brunetti (auteur de 6 buts) et Marc-Antoine Coggia (mais une blessure de Raphaël Bravo faisait revenir le capitaine rapidement).
La fin de match se transformait en simple formalité pour le collectif ajaccien, qui remportait largement cette rencontre 39 à 28.
Pour réaliser un bon résultat ce samedi, le GFCA ne pouvait pas se contenter d'une simple victoire mais il fallait également gagner avec au moins 8 points d'écart pour le goal average de fin de saison.
Ne perdant pas d'esprit ce besoin de points, les hommes de Gilles Franceschini revenaient sur le terrain toujours aussi motivés. Le collectif insulaire avec ses frères Brunetti poursuivait sur le même rythme qu'en première période et enfonçait le clou face à une équipe de Saint-Egrève complètement déstabilisée.
En échec face aux cages du capitaine insulaire Marc-Antoine Coggia, les hommes de Marjan Kolev n'avaient guerre d'autre choix que de subir les assauts ajacciens, grandement menés par Hakim El Koutali, Igor Chiseliov et Quentin Erard (10 buts). L'entraîneur gazier se permettait sans trop de pression de faire souffler ses piliers comme Tony Brunetti (auteur de 6 buts) et Marc-Antoine Coggia (mais une blessure de Raphaël Bravo faisait revenir le capitaine rapidement).
La fin de match se transformait en simple formalité pour le collectif ajaccien, qui remportait largement cette rencontre 39 à 28.