« Cette décision suscite une émotion et des interrogations légitimes », souligne le Conseil exécutif de Corse, rappelant que le recours par le parquet à une enquête préliminaire empêche les parties civiles d’avoir accès à la procédure, et donc de comprendre sur quels éléments repose la décision de classement.
Trois ans et demi après les faits, le Conseil exécutif de Corse estime que « l’assassinat dans des conditions aussi atroces que suspectes d’Yvan Colonna fait toujours l’objet de larges zones d’ombre », malgré les travaux de la commission d’enquête parlementaire. Celle-ci avait déjà relevé « des contradictions importantes » dans les explications fournies par les responsables administratifs.
Parallèlement, la famille et les avocats d'Yvan Colonna ont, selon le communiqué, sollicité de nouvelles investigations, « pour l’heure non encore obtenues ».
Dans ce contexte, le Conseil exécutif de Corse « rappelle solennellement que l’exigence de justice et de vérité dans le dossier de l’assassinat d’Yvan Colonna fait partie des engagements auxquels l’État a souscrit » dans le cadre du processus politique engagé après le drame.
« Cet engagement doit être respecté », conclut le communiqué de l’Exécutif corse.
Trois ans et demi après les faits, le Conseil exécutif de Corse estime que « l’assassinat dans des conditions aussi atroces que suspectes d’Yvan Colonna fait toujours l’objet de larges zones d’ombre », malgré les travaux de la commission d’enquête parlementaire. Celle-ci avait déjà relevé « des contradictions importantes » dans les explications fournies par les responsables administratifs.
Parallèlement, la famille et les avocats d'Yvan Colonna ont, selon le communiqué, sollicité de nouvelles investigations, « pour l’heure non encore obtenues ».
Dans ce contexte, le Conseil exécutif de Corse « rappelle solennellement que l’exigence de justice et de vérité dans le dossier de l’assassinat d’Yvan Colonna fait partie des engagements auxquels l’État a souscrit » dans le cadre du processus politique engagé après le drame.
« Cet engagement doit être respecté », conclut le communiqué de l’Exécutif corse.
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