Jusqu'à l'année dernière le restaurant recevait, réchauffait et distribuait les repas livrés par une centrale de restauration aux deux principaux établissements scolaires de la commune : depuis la rentrée le restaurant scolaire Claude-Defendini du Rustinchu fabrique les repas de tous les élèves - près de 500 - de maternelles et des cours élémentaires de Furiani.
Pour ce faire la commune a procédé à une extension de la cuisine existante pour la doter des équipements indispensables à la réalisation des repas, engagé deux cuisiniers, un commis, deux aides et un magasinier. Trois cantinières, des animateurs et des assistantes maternelles complètent les effectifs qui doivent être quotidiennement mobilisés pour la bonne marche de l'infrastructure.
Au total la municipalité a investi près de 350 000 € pour mener ce projet bien, mais Michel Simonpietri en convient : "Cela n'est pas le plus important. Notre grande priorité ce sont les enfants."
Ici on veut leur redonner le goût des bonnes choses et bannir à jamais "les pizze tous les jours, les hamburger tous les jours et les frites tous les jours : ce n'est plus possible" martèle le maire de la commune. "Il faut que les enfants aient la possibilité de prendre un repas vraiment complet."
Au restaurant scolaire Claude-Defendini on entend le faire au plus tôt en associant les enfants aux menus et au travail des cuisiniers.
Pour mieux apprécier le goût des bonnes choses !
Pour ce faire la commune a procédé à une extension de la cuisine existante pour la doter des équipements indispensables à la réalisation des repas, engagé deux cuisiniers, un commis, deux aides et un magasinier. Trois cantinières, des animateurs et des assistantes maternelles complètent les effectifs qui doivent être quotidiennement mobilisés pour la bonne marche de l'infrastructure.
Au total la municipalité a investi près de 350 000 € pour mener ce projet bien, mais Michel Simonpietri en convient : "Cela n'est pas le plus important. Notre grande priorité ce sont les enfants."
Ici on veut leur redonner le goût des bonnes choses et bannir à jamais "les pizze tous les jours, les hamburger tous les jours et les frites tous les jours : ce n'est plus possible" martèle le maire de la commune. "Il faut que les enfants aient la possibilité de prendre un repas vraiment complet."
Au restaurant scolaire Claude-Defendini on entend le faire au plus tôt en associant les enfants aux menus et au travail des cuisiniers.
Pour mieux apprécier le goût des bonnes choses !