
'avocat Pascal Garbarini en 2012. Photo archives CNI
La mise en examen de Pascal Garbarini est annulée pour "défaut d’indices graves et concordants", a précisé le parquet d’Aix-en-Provence ce lundi 17 octobre, confirmant l’information des conseils de l’avocat.
Dans un communiqué, ces derniers considèrent qu’il "est désormais admis que Me Pascal-Pierre Garbarini n’aurait jamais dû être mis en examen par les juges d’instruction et qu’une telle décision était manifestement infondée". Dès le 25 juillet ils avaient déposé "une requête en nullité" de cette mise en examen. Mes Francis Teitgen, Patrick Maisonneuve et Marie-Laure Barre rappellent également dans leur lettre que "la chambre de l’instruction avait déjà annulé le 27 juillet, pour le même motif, les mesures de contrôle judiciaire dont était assortie la mise en examen" de leur client.
La cour d’appel d’Aix-en-Provence avait en effet jugé insuffisants les indices retenus à l’encontre de ce pénaliste réputé des dossiers corses, qui a défendu plusieurs membres présumés du « Petit Bar » mais aussi Yvan Colonna au procès de l’assassinat du préfet Claude Erignac, et annulé son placement sous contrôle judiciaire
Me Garbarini est notamment l’avocat de Jacques Santoni, le chef présumé du « Petit Bar », qui a été mis en examen en janvier 2021 dans cette vaste enquête financière, notamment pour extorsion en bande organisée, blanchiment aggravé et association de malfaiteurs.
Dans un communiqué, ces derniers considèrent qu’il "est désormais admis que Me Pascal-Pierre Garbarini n’aurait jamais dû être mis en examen par les juges d’instruction et qu’une telle décision était manifestement infondée". Dès le 25 juillet ils avaient déposé "une requête en nullité" de cette mise en examen. Mes Francis Teitgen, Patrick Maisonneuve et Marie-Laure Barre rappellent également dans leur lettre que "la chambre de l’instruction avait déjà annulé le 27 juillet, pour le même motif, les mesures de contrôle judiciaire dont était assortie la mise en examen" de leur client.
La cour d’appel d’Aix-en-Provence avait en effet jugé insuffisants les indices retenus à l’encontre de ce pénaliste réputé des dossiers corses, qui a défendu plusieurs membres présumés du « Petit Bar » mais aussi Yvan Colonna au procès de l’assassinat du préfet Claude Erignac, et annulé son placement sous contrôle judiciaire
Me Garbarini est notamment l’avocat de Jacques Santoni, le chef présumé du « Petit Bar », qui a été mis en examen en janvier 2021 dans cette vaste enquête financière, notamment pour extorsion en bande organisée, blanchiment aggravé et association de malfaiteurs.