C’est un documentaire qui promet de faire voyager bien au-delà des écrans. Mardi 16 décembre à 21h40, Via Stella diffusera « Matisse Après la Pluie », un film inédit qui remonte le fil méditerranéen du maître du fauvisme. Une immersion sensible, pensée comme un road movie entre Ajaccio et Tanger, sur les traces d’un artiste qui a trouvé sa lumière après l’orage.
Imaginé par Antoine Casalta et Fatym Layachi, et produit par Les Films d’Ici Méditerranée, le film raconte ces moments de bascule où Matisse, encore hésitant ou déjà en plein doute, se heurte à la pluie avant de découvrir l’éblouissement. À Ajaccio d’abord, où en 1898, jeune peintre fatigué prêt à tout lâcher, il débarque sous un ciel gris. Quand les nuages se déchirent, tout change. En quelques semaines il peint plus de cinquante œuvres et pose les fondations de ce qui deviendra le fauvisme. À Tanger ensuite, en 1912 où il retrouve la même pluie interminable, puis cette lumière qui ouvre un nouveau champ de liberté. Deux rives, deux renaissances, un même souffle créatif.
Le film avance porté par des voix qui connaissent ces territoires et leur pouvoir. Jacques Poncin, qui a consacré quarante ans à préserver la mémoire du passage de Matisse en Corse. Tony Casalonga, marqué lui aussi par cette lumière si particulière. Amélie Sabatier, historienne de l’art, qui relie Ajaccio, Tanger et la chapelle de Vence où l’artiste résume toute sa vision méditerranéenne. À Tanger, Mahi Binebine raconte le regard neuf de Matisse loin des clichés orientalistes, tandis qu’Abdelaziz, depuis sa boutique de la casbah, témoigne de l’empreinte que le peintre a laissée dans la ville. Même les rues prennent la parole avec Punksy, street artist tangérois. En fil rouge, Aymeric Jeudy, directeur du musée Matisse de Nice, replace ce voyage dans l’évolution du maître.
Porté par les archives, les tableaux, les paysages d’aujourd’hui et une bande originale signée Philippe Biondi, « Matisse Après la Pluie » redonne place à ces deux chapitres longtemps restés en marge des grandes rétrospectives. Une page artistique que la Collectivité de Corse a elle aussi tenu à réinscrire dans les mémoires, en soutenant ce documentaire.
Plus loin, ce film interroge ce que Matisse cherchait, ce qu’il a trouvé et ce qui demeure sur les rivages de méditerranée. Un documentaire de création de 52 minutes, à découvrir pour comprendre comment un peintre a changé le cours de l’art… simplement parce que la lumière est revenue.
Imaginé par Antoine Casalta et Fatym Layachi, et produit par Les Films d’Ici Méditerranée, le film raconte ces moments de bascule où Matisse, encore hésitant ou déjà en plein doute, se heurte à la pluie avant de découvrir l’éblouissement. À Ajaccio d’abord, où en 1898, jeune peintre fatigué prêt à tout lâcher, il débarque sous un ciel gris. Quand les nuages se déchirent, tout change. En quelques semaines il peint plus de cinquante œuvres et pose les fondations de ce qui deviendra le fauvisme. À Tanger ensuite, en 1912 où il retrouve la même pluie interminable, puis cette lumière qui ouvre un nouveau champ de liberté. Deux rives, deux renaissances, un même souffle créatif.
Le film avance porté par des voix qui connaissent ces territoires et leur pouvoir. Jacques Poncin, qui a consacré quarante ans à préserver la mémoire du passage de Matisse en Corse. Tony Casalonga, marqué lui aussi par cette lumière si particulière. Amélie Sabatier, historienne de l’art, qui relie Ajaccio, Tanger et la chapelle de Vence où l’artiste résume toute sa vision méditerranéenne. À Tanger, Mahi Binebine raconte le regard neuf de Matisse loin des clichés orientalistes, tandis qu’Abdelaziz, depuis sa boutique de la casbah, témoigne de l’empreinte que le peintre a laissée dans la ville. Même les rues prennent la parole avec Punksy, street artist tangérois. En fil rouge, Aymeric Jeudy, directeur du musée Matisse de Nice, replace ce voyage dans l’évolution du maître.
Porté par les archives, les tableaux, les paysages d’aujourd’hui et une bande originale signée Philippe Biondi, « Matisse Après la Pluie » redonne place à ces deux chapitres longtemps restés en marge des grandes rétrospectives. Une page artistique que la Collectivité de Corse a elle aussi tenu à réinscrire dans les mémoires, en soutenant ce documentaire.
Plus loin, ce film interroge ce que Matisse cherchait, ce qu’il a trouvé et ce qui demeure sur les rivages de méditerranée. Un documentaire de création de 52 minutes, à découvrir pour comprendre comment un peintre a changé le cours de l’art… simplement parce que la lumière est revenue.
Le synopsis
« C'est à Ajaccio que j'ai eu mon grand émerveillement pour le Sud que je ne connaissais pas encore » – Henri Matisse, 1898.
En 1898 Henri Matisse est un jeune peintre méconnu, confronté au doute. Prêt à abandonner son art, il part en voyage de noces à Ajaccio où il arrive sous une pluie persistante. Mais lorsque le temps s'éclaircit, il découvre le choc esthétique de la lumière du Sud. En quelques mois, il produit plus de cinquante œuvres et jette les fondations du fauvisme.
En 1912-1913 il est un artiste confirmé, en pleine crise existentielle. A Tanger, il est de nouveau confiné à sa chambre hôtel par l'un des épisodes pluvieux les plus importants de l'histoire de la ville. A nouveau, lorsque le soleil filtre à travers les nuages, Matisse trouve à nouveau la lumière. Un souffle, un espace de liberté et d’invention. Il pleut lorsque Matisse arrive à Ajaccio. Il pleut lorsque Matisse arrive à Tanger. Deux fois, la lumière, revenue après la pluie, révèle à l’artiste une inspiration nouvelle. C'est sur ces deux rives de la méditerranée que Matisse peindra la plupart des toiles qui marqueront l'histoire de l'art.
« Matisse Après la Pluie » explore ces deux moments de bascule dans la carrière du peintre, en redonnant corps à ces deux lieux de la vie du peintre, longtemps restés en marge des grandes rétrospectives.
En 1898 Henri Matisse est un jeune peintre méconnu, confronté au doute. Prêt à abandonner son art, il part en voyage de noces à Ajaccio où il arrive sous une pluie persistante. Mais lorsque le temps s'éclaircit, il découvre le choc esthétique de la lumière du Sud. En quelques mois, il produit plus de cinquante œuvres et jette les fondations du fauvisme.
En 1912-1913 il est un artiste confirmé, en pleine crise existentielle. A Tanger, il est de nouveau confiné à sa chambre hôtel par l'un des épisodes pluvieux les plus importants de l'histoire de la ville. A nouveau, lorsque le soleil filtre à travers les nuages, Matisse trouve à nouveau la lumière. Un souffle, un espace de liberté et d’invention. Il pleut lorsque Matisse arrive à Ajaccio. Il pleut lorsque Matisse arrive à Tanger. Deux fois, la lumière, revenue après la pluie, révèle à l’artiste une inspiration nouvelle. C'est sur ces deux rives de la méditerranée que Matisse peindra la plupart des toiles qui marqueront l'histoire de l'art.
« Matisse Après la Pluie » explore ces deux moments de bascule dans la carrière du peintre, en redonnant corps à ces deux lieux de la vie du peintre, longtemps restés en marge des grandes rétrospectives.
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