Les jeunes artistes photographes de Saint-Jo et leurs encadrants
Ce projet pédagogique s’inscrit dans une volonté d’accompagner l’élève à regarder et à interroger sa représentation en photographie.
L’atelier intitulé « « Emuzioni/émotions » » a consisté en une initiation au cadrage et à la composition à travers la découverte d’un corpus de photographies issues de la collection, du CMP et à travers la découverte d’artistes tels Nadar, Philippe Bazin, Jorge Mölder, Franz Xaver Messerschmidt, sculpteur, et du mime marceau.
Dans une salle du collège, les élèves ont photographié en binôme. A tour de rôle, l’un photographiait, l’autre interprétait plusieurs émotions comme la peur, la joie, la tristesse, la colère, la honte, le dégoût ou la surprise. Les prises de vue se sont faites en deux temps : cadrage serré pour chaque portrait et plan large où chacun a interprété ses émotions par le corps.
Deux séances ont été consacrées à la sélection, et à l’analyse critique de deux types de photographies en salle de classe. Sous le regard de l’enseignante, chaque élève a écrit un haïku. Les textes ont été écrits en français et traduits en corse.
CNI a visité l’expo et suivi le diaporama en, compagnie des élèves et des encadrants de ce travail.
L’atelier intitulé « « Emuzioni/émotions » » a consisté en une initiation au cadrage et à la composition à travers la découverte d’un corpus de photographies issues de la collection, du CMP et à travers la découverte d’artistes tels Nadar, Philippe Bazin, Jorge Mölder, Franz Xaver Messerschmidt, sculpteur, et du mime marceau.
Dans une salle du collège, les élèves ont photographié en binôme. A tour de rôle, l’un photographiait, l’autre interprétait plusieurs émotions comme la peur, la joie, la tristesse, la colère, la honte, le dégoût ou la surprise. Les prises de vue se sont faites en deux temps : cadrage serré pour chaque portrait et plan large où chacun a interprété ses émotions par le corps.
Deux séances ont été consacrées à la sélection, et à l’analyse critique de deux types de photographies en salle de classe. Sous le regard de l’enseignante, chaque élève a écrit un haïku. Les textes ont été écrits en français et traduits en corse.
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