
En quelques années, l’ancienne institutrice aux déboires sentimentaux a détourné la cou-leur, pris un virage. Dans cet opus on y trouve notamment un étonnant « Pour être deux », un duo, avec Jean-Louis Murat, «Je compte » , une sorte de « contre liste » et aussi « je de société » dans laquelle elle évoque les réseaux sociaux. Celle qui chantait beaucoup son monde dans ses précédents albums comme la séparation, le sombre con, le grand-père, la famille … s’aventure aujourd’hui à raconter des histoires qui ne sont pas les siennes : la lâcheté de l’homme qui abandonne son foyer dans « Maman est en bad » ou de celui qui n’a jamais osé poursuivre ses rêves dans « Partie Remise ».
Ces nouveaux titres, Rose et ses 2 musiciens, les ont offerts au public du « Petit théâtre de l’opéra » à Bastia, une salle d’une trentaine de places. Une expérience unique pour Rose qui s’en est délectée avec un contact très riche, une véritable osmose, avec le public.
CNI était une fois encore dans les coulisses.
Ces nouveaux titres, Rose et ses 2 musiciens, les ont offerts au public du « Petit théâtre de l’opéra » à Bastia, une salle d’une trentaine de places. Une expérience unique pour Rose qui s’en est délectée avec un contact très riche, une véritable osmose, avec le public.
CNI était une fois encore dans les coulisses.