Bien connue des Bastiais, la sculpture monumentale de bronze, Vénus à la conque, trône depuis plus de vingt ans au cœur des escaliers-corbeille reliant la rue César Campinchi au Théâtre municipal. Majestueuse, immobile, elle est devenue un repère urbain, une figure familière du paysage bastiais.
Mais ce que l’on sait moins, c’est que derrière cette œuvre, il y avait un visage. Une présence réelle, une femme, qui inspira l’artiste-sculpteur au début des années 2000. Son identité n’a jamais été révélée, volontairement tenue secrète par l’artiste et quelques intimes. Un silence respectueux, maintenu jusqu’au bout.
Le 8 juillet dernier, après avoir affronté avec courage une longue maladie, cette muse s’est éteinte. Discrète dans la vie comme dans l’histoire de l’œuvre, elle laisse derrière elle un vide que seul l’artiste connaît pleinement. Elle fut son modèle, sa muse, sa source. Celle qui, dans l’ombre, a contribué à faire naître l’œuvre et peut-être même, à façonner une part de l’artiste lui-même.
Quelques jours après sa disparition, un geste anonyme est venu briser le silence. Une gerbe de fleurs a été délicatement déposée autour du cou de la Vénus. Un hommage simple, mais bouleversant. Une manière pudique de saluer celle qui fut, qui est, et restera pour toujours, la muse de bronze.
Pour l’artiste, Gabriel Diana, ce fut un choc. Une émotion intense, inattendue, venue raviver la peine. Mais aussi, peut-être, une forme de consolation. La certitude que l’art, même silencieux, sait parler aux cœurs.
Mais ce que l’on sait moins, c’est que derrière cette œuvre, il y avait un visage. Une présence réelle, une femme, qui inspira l’artiste-sculpteur au début des années 2000. Son identité n’a jamais été révélée, volontairement tenue secrète par l’artiste et quelques intimes. Un silence respectueux, maintenu jusqu’au bout.
Le 8 juillet dernier, après avoir affronté avec courage une longue maladie, cette muse s’est éteinte. Discrète dans la vie comme dans l’histoire de l’œuvre, elle laisse derrière elle un vide que seul l’artiste connaît pleinement. Elle fut son modèle, sa muse, sa source. Celle qui, dans l’ombre, a contribué à faire naître l’œuvre et peut-être même, à façonner une part de l’artiste lui-même.
Quelques jours après sa disparition, un geste anonyme est venu briser le silence. Une gerbe de fleurs a été délicatement déposée autour du cou de la Vénus. Un hommage simple, mais bouleversant. Une manière pudique de saluer celle qui fut, qui est, et restera pour toujours, la muse de bronze.
Pour l’artiste, Gabriel Diana, ce fut un choc. Une émotion intense, inattendue, venue raviver la peine. Mais aussi, peut-être, une forme de consolation. La certitude que l’art, même silencieux, sait parler aux cœurs.
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