« Avant d'évoquer les sujets précis, nous avons fait par de l'état d'esprit des salariés concernant la politique anti sociale menée pendant 5 ans. On nous promettait une rupture avec le sarkozisme, une lutte sans merci contre la Finance et on a eu une attaque en règle contre le code du travail et une politique d'austérité réduisant les salaires et les budgets publics ».
Lors de cette réunion, les militants cégétistes ont également dénoncé les propos tenus par le gouvernement assimilant la CGT et ses militants à des terroristes à propos des mobilisations contre la loi travail. « En Corse, ces mots ont un sens car de nombreux militants et de simples salariés ont subi menaces et violences des poseurs de bombes nationalistes » ont-ils souligné.
Pour la CGT, « Si aujourd'hui dans le pays ,et particulièrement en Corse les idées xénophobes gagnent du terrain, la politique du Président Hollande en porte une lourde responsabilité ».
Pendant plus d'une heure les militants ont développé la situation sociale sur l'île avec exemples à l'appui. Précarité et malversations financières dans les services à la personne; fermeture du comptoir Air France à Calvi; moyens financiers pour les hôpitaux; suppression de l'accueil du public dans les Préfectures aux impôts et de nombreuses administrations. Brutalité dans le management des Douanes en Corse…..
La CGT a aussi pointé l'inquiétude des personnels des trois collectivités qui vont fusionner dans la Collectivité Unique sur fond de restrictions budgétaires et a réclamé une revalorisation de l'indemnité de transport (bloquée depuis 2011) et son extension aux retraités.
La CGT a annoncé à la conseillère du président, une mobilisation, le 8 mars (15 heures devant le Géant Casino Toga), pour mettre en avant le scandale des salaires inférieurs en moyenne de 26% pour les femmes et la précarité des contrats de travail en Corse.
Et la CGT de conclure : « Cet entretien nous a conforté à amplifier les luttes et mobilisations surtout pendant cette période électorale . Remettre au coeur de la campagne les questions sociales est essentiel pour éviter que les affaires financières et les thèmes de rejets et d'exclusion polluent le débat ».
Lors de cette réunion, les militants cégétistes ont également dénoncé les propos tenus par le gouvernement assimilant la CGT et ses militants à des terroristes à propos des mobilisations contre la loi travail. « En Corse, ces mots ont un sens car de nombreux militants et de simples salariés ont subi menaces et violences des poseurs de bombes nationalistes » ont-ils souligné.
Pour la CGT, « Si aujourd'hui dans le pays ,et particulièrement en Corse les idées xénophobes gagnent du terrain, la politique du Président Hollande en porte une lourde responsabilité ».
Pendant plus d'une heure les militants ont développé la situation sociale sur l'île avec exemples à l'appui. Précarité et malversations financières dans les services à la personne; fermeture du comptoir Air France à Calvi; moyens financiers pour les hôpitaux; suppression de l'accueil du public dans les Préfectures aux impôts et de nombreuses administrations. Brutalité dans le management des Douanes en Corse…..
La CGT a aussi pointé l'inquiétude des personnels des trois collectivités qui vont fusionner dans la Collectivité Unique sur fond de restrictions budgétaires et a réclamé une revalorisation de l'indemnité de transport (bloquée depuis 2011) et son extension aux retraités.
La CGT a annoncé à la conseillère du président, une mobilisation, le 8 mars (15 heures devant le Géant Casino Toga), pour mettre en avant le scandale des salaires inférieurs en moyenne de 26% pour les femmes et la précarité des contrats de travail en Corse.
Et la CGT de conclure : « Cet entretien nous a conforté à amplifier les luttes et mobilisations surtout pendant cette période électorale . Remettre au coeur de la campagne les questions sociales est essentiel pour éviter que les affaires financières et les thèmes de rejets et d'exclusion polluent le débat ».