Simon Giuseppi, hôte de la bibilothèque patrimoniale de Bastia
Ce magnifique ouvrage richement illustré retrace le parcours de prêt de 13 000 étrangers, dont 5 000 Serbes, victimes de l'empire austro-hongrois.arrivés dans l’île à cause de la guerre.
Grâce à un véritable travail d’archiviste, Simon Giuseppi y révèle leurs conditions de vie.
Les uns sont agriculteurs, les autres boulangers ou cordonniers. Il faut dire qu’à cette époque on recherchait de la main d’œuvre dans toutes les corporations, toute la jeunesse étant partie à la guerre.
Mercredi soir l’auteur a donc présenté son livre avec en parallèle une belle exposition de photos prises en 1916 d’Isodore Aubert, opérateur du service photographique de l’armée française et ds dessins, huiles et aquarelles, réalisée par des étrangers, prisonniers de guerre, internés civiles et réfugiés.
CNI a rencontré l’auteur
Grâce à un véritable travail d’archiviste, Simon Giuseppi y révèle leurs conditions de vie.
Les uns sont agriculteurs, les autres boulangers ou cordonniers. Il faut dire qu’à cette époque on recherchait de la main d’œuvre dans toutes les corporations, toute la jeunesse étant partie à la guerre.
Mercredi soir l’auteur a donc présenté son livre avec en parallèle une belle exposition de photos prises en 1916 d’Isodore Aubert, opérateur du service photographique de l’armée française et ds dessins, huiles et aquarelles, réalisée par des étrangers, prisonniers de guerre, internés civiles et réfugiés.
CNI a rencontré l’auteur
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