Les autorités sanitaires invitent la population à limiter autant que possible l’usage des véhicules à moteur thermique et à privilégier, pour les trajets courts, les modes de déplacement non polluants. Les déplacements internes aux agglomérations peuvent être différés si la situation le permet. Le covoiturage et les transports en commun restent les options les plus adaptées. La réduction de la vitesse sur les axes routiers hors agglomération, l’abandon temporaire des travaux nécessitant des solvants et la suspension des feux d’agrément ou des barbecues sont également recommandés.
Les émetteurs industriels sont appelés à maîtriser leurs émissions de composés organiques volatiles et d’oxydes d’azote, tout en vérifiant le bon fonctionnement de leurs équipements de dépoussiérage. Le secteur maritime, lui, doit réduire la production électrique à quai des navires afin de limiter les rejets supplémentaires dans l’atmosphère.
Personnes vulnérables
Les conseils sont renforcés pour les personnes vulnérables, notamment les femmes enceintes, les nourrissons, les enfants, les personnes âgées et celles souffrant de pathologies cardiovasculaires, respiratoires ou d’asthme. Les personnes dont les symptômes s’aggravent habituellement lors d’épisodes de pollution sont invitées à adapter leurs activités et à consulter en cas de gêne respiratoire ou cardiaque. Les sorties les plus courtes et les moins éprouvantes sont à privilégier, en évitant particulièrement les zones à fort trafic. Lors des épisodes liés aux particules PM10, au dioxyde d’azote ou au dioxyde de soufre, il est conseillé de réduire les activités physiques intenses. En cas de pollution à l’ozone, les sorties durant l’après-midi et les efforts sportifs soutenus en extérieur sont à éviter, même si les activités peu intenses peuvent être maintenues en intérieur.
Rester attentif aux signes de gêne respiratoire ou cardiaque
Pour l’ensemble de la population, les recommandations restent similaires : rester attentif aux signes de gêne respiratoire ou cardiaque, ajuster son niveau d’effort et limiter les activités sportives les plus exigeantes lorsque les concentrations de polluants augmentent.
Les activités d’intérieur peuvent être poursuivies en cas d’ozone élevé. Cet épisode saharien, bien que passager, rappelle l’importance de réduire les émissions locales pour atténuer les effets de ces phénomènes et accélérer le retour à une situation plus saine.
Les émetteurs industriels sont appelés à maîtriser leurs émissions de composés organiques volatiles et d’oxydes d’azote, tout en vérifiant le bon fonctionnement de leurs équipements de dépoussiérage. Le secteur maritime, lui, doit réduire la production électrique à quai des navires afin de limiter les rejets supplémentaires dans l’atmosphère.
Personnes vulnérables
Les conseils sont renforcés pour les personnes vulnérables, notamment les femmes enceintes, les nourrissons, les enfants, les personnes âgées et celles souffrant de pathologies cardiovasculaires, respiratoires ou d’asthme. Les personnes dont les symptômes s’aggravent habituellement lors d’épisodes de pollution sont invitées à adapter leurs activités et à consulter en cas de gêne respiratoire ou cardiaque. Les sorties les plus courtes et les moins éprouvantes sont à privilégier, en évitant particulièrement les zones à fort trafic. Lors des épisodes liés aux particules PM10, au dioxyde d’azote ou au dioxyde de soufre, il est conseillé de réduire les activités physiques intenses. En cas de pollution à l’ozone, les sorties durant l’après-midi et les efforts sportifs soutenus en extérieur sont à éviter, même si les activités peu intenses peuvent être maintenues en intérieur.
Rester attentif aux signes de gêne respiratoire ou cardiaque
Pour l’ensemble de la population, les recommandations restent similaires : rester attentif aux signes de gêne respiratoire ou cardiaque, ajuster son niveau d’effort et limiter les activités sportives les plus exigeantes lorsque les concentrations de polluants augmentent.
Les activités d’intérieur peuvent être poursuivies en cas d’ozone élevé. Cet épisode saharien, bien que passager, rappelle l’importance de réduire les émissions locales pour atténuer les effets de ces phénomènes et accélérer le retour à une situation plus saine.
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