Ce mardi 26 octobre, l'activité de deux entreprises ajacciennes sur deux chantiers différents a été temporairement arrêtée par le préfet de Corse, Pascale Lelarge, "en raison de faits graves et de grande ampleur de travail illégal".
En effet, malgré plusieurs alertes lancées par les services de l’inspection du travail après des contrôles effectués depuis 2017 sur des chantiers, ces entreprises ont continué à ne pas respecter la règlementation en matière de travail illégal "et notamment en matière de prêt illicite de main d’œuvre et marchandage", jusqu'à ce mardi quand elles ont été verbalisées "pour des infractions de travail illégal dont près de quatre-vingt salariés ont été victimes.", indiquent les services de l'Etat qui précisent que "des contrôles qui ont eu lieu en septembre dernier ont révélé la poursuite de ces infractions".
Pour cette raison le préfet a prononcé, après une procédure contradictoire avec ces deux entreprises, la suspension de leur activité pour une durée de trois mois à compter de sa notification, la saisie temporaire du matériel professionnel et l’exclusion des contrats administratifs.
La préfecture rappelle que les auteurs de ces infractions de travail dissimulé "faussent la concurrence à l’égard des entreprises respectueuses de la règlementation et menacent l’emploi sur le territoire par des avantages compétitifs acquis sur la base de commission d’infractions. Ces infractions constituent par ailleurs des atteintes graves aux droits des travailleurs détachés, les exposant à des risques accrus d’accidents du travail et mettant en danger leur intégrité physique et mentale."
En effet, malgré plusieurs alertes lancées par les services de l’inspection du travail après des contrôles effectués depuis 2017 sur des chantiers, ces entreprises ont continué à ne pas respecter la règlementation en matière de travail illégal "et notamment en matière de prêt illicite de main d’œuvre et marchandage", jusqu'à ce mardi quand elles ont été verbalisées "pour des infractions de travail illégal dont près de quatre-vingt salariés ont été victimes.", indiquent les services de l'Etat qui précisent que "des contrôles qui ont eu lieu en septembre dernier ont révélé la poursuite de ces infractions".
Pour cette raison le préfet a prononcé, après une procédure contradictoire avec ces deux entreprises, la suspension de leur activité pour une durée de trois mois à compter de sa notification, la saisie temporaire du matériel professionnel et l’exclusion des contrats administratifs.
La préfecture rappelle que les auteurs de ces infractions de travail dissimulé "faussent la concurrence à l’égard des entreprises respectueuses de la règlementation et menacent l’emploi sur le territoire par des avantages compétitifs acquis sur la base de commission d’infractions. Ces infractions constituent par ailleurs des atteintes graves aux droits des travailleurs détachés, les exposant à des risques accrus d’accidents du travail et mettant en danger leur intégrité physique et mentale."