Ils n'en sont pas à leur première opération, depuis juillet plusieurs actions ont été menées afin de nettoyer des terrains pris pour poubelles publiques. La première action a été impulsée sur le réseau social Facebook par François Filoni, conseiller municipal délégué à la propreté urbaine, celui-ci est bien entendu aujourd'hui partie prenante des diverses opérations présentes et à venir.
Le mouvement s'est mis en action avec le concours de la municipalité d'Ajaccio et la Capa. La brigade de l'environnement était aussi présente afin de débusquer les "pollueurs" en vue de les sanctionner. Nathalie Antona Nicolaï, ancienne enseignante actuellement en Master de droit, est la responsable des bénévoles qui conduit le mouvement : "c'est l'amour de la nature et de mon île qui m'a donné envie de me mettre dans l'action" dit-elle."l'idée étant d'apporter du résultat et de sensibiliser la population, y compris la jeunesse afin de générer une prise de conscience."
Respecter l'environnement en adoptant des gestes simples tels que ne rien jeter sur la voie publique, mettre un mégot dans un cendrier de poche au lieu de le jeter dans le caniveau, faire son tri papiers et verre, emmener ses encombrants à la déchetterie et même participer à ce genre d'opération, sont ces petits gestes qui font de l'individu un citoyen responsable se sentant concerné et c'est bien l'objectif de ces actions : montrer que "ce n'est pas la mer à boire". Du chemin est encore à parcourir mais le mouvement a réuni du monde depuis juillet et cela se poursuit.
Une décharge sauvage représente aussi des dangers qui ne sont pas des moindres, on y trouve morceaux de verre et de ferraille, seringues, les enfants ont pu le découvrir. Ils ont oeuvré comme tous mais avec surveillance car on peut s'y blesser. "La FALEP (Fédération des Associations Laïques et Éducation Populaire) a eu la volonté de participer à cette action, les animatrices avait envie de s'investir et de sensibiliser les scolaires (de St Jean et des Cannes)" a expliqué Nathalie Antona Nicolaï, "Les enfants étaient très attentifs, ce matin-là , au petit cours qu'ils ont reçu sur les menaces et les risques des différents types de pollution".
François Filoni mettra sur son mur Facebook, au lendemain de l'opération : "Chacun est responsable de la planète et doit protéger à son échelle" (Yann Arthus-Bertrand).
Facebook Ville d'Ajaccio
Facebook de François Filoni
Le mouvement s'est mis en action avec le concours de la municipalité d'Ajaccio et la Capa. La brigade de l'environnement était aussi présente afin de débusquer les "pollueurs" en vue de les sanctionner. Nathalie Antona Nicolaï, ancienne enseignante actuellement en Master de droit, est la responsable des bénévoles qui conduit le mouvement : "c'est l'amour de la nature et de mon île qui m'a donné envie de me mettre dans l'action" dit-elle."l'idée étant d'apporter du résultat et de sensibiliser la population, y compris la jeunesse afin de générer une prise de conscience."
Respecter l'environnement en adoptant des gestes simples tels que ne rien jeter sur la voie publique, mettre un mégot dans un cendrier de poche au lieu de le jeter dans le caniveau, faire son tri papiers et verre, emmener ses encombrants à la déchetterie et même participer à ce genre d'opération, sont ces petits gestes qui font de l'individu un citoyen responsable se sentant concerné et c'est bien l'objectif de ces actions : montrer que "ce n'est pas la mer à boire". Du chemin est encore à parcourir mais le mouvement a réuni du monde depuis juillet et cela se poursuit.
Une décharge sauvage représente aussi des dangers qui ne sont pas des moindres, on y trouve morceaux de verre et de ferraille, seringues, les enfants ont pu le découvrir. Ils ont oeuvré comme tous mais avec surveillance car on peut s'y blesser. "La FALEP (Fédération des Associations Laïques et Éducation Populaire) a eu la volonté de participer à cette action, les animatrices avait envie de s'investir et de sensibiliser les scolaires (de St Jean et des Cannes)" a expliqué Nathalie Antona Nicolaï, "Les enfants étaient très attentifs, ce matin-là , au petit cours qu'ils ont reçu sur les menaces et les risques des différents types de pollution".
François Filoni mettra sur son mur Facebook, au lendemain de l'opération : "Chacun est responsable de la planète et doit protéger à son échelle" (Yann Arthus-Bertrand).
Facebook Ville d'Ajaccio
Facebook de François Filoni
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