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Cet ancien du Groupe islamique armé algérien (GIA) avait été placé en garde à vue samedi.
Il s'agissait, selon la même source, de "savoir ce qu’il savait éventuellement du projet" de Franck Elong Abé, détenu également à la prison d'Arles, qui a agresséYvan Colonna mercredi 2 mars.
Un autre codétenu a été interrogé par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) mais "sans aucune suite", avait expliqué à l'AFP samedi une autre source proche du dossier.
Franck Elong Abé a été mis en examen dimanche pour "tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste". Il purgeait plusieurs peines dont une de neuf ans pour "association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un acte de terrorisme".
Lors de sa garde à vue, il avait expliqué son acte "par ce qu'il considérait comme des blasphèmes" proférés selon lui ces derniers mois par Yvan Colonna, a rapporté dimanche le procureur national antiterroriste Jean-François Ricard lors d'une conférence de presse.
Le militant corse aurait notamment déclaré quelques jours avant l'agression qu'il "crachait sur Dieu", selon M. Ricard.
Il s'agissait, selon la même source, de "savoir ce qu’il savait éventuellement du projet" de Franck Elong Abé, détenu également à la prison d'Arles, qui a agresséYvan Colonna mercredi 2 mars.
Un autre codétenu a été interrogé par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) mais "sans aucune suite", avait expliqué à l'AFP samedi une autre source proche du dossier.
Franck Elong Abé a été mis en examen dimanche pour "tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste". Il purgeait plusieurs peines dont une de neuf ans pour "association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un acte de terrorisme".
Lors de sa garde à vue, il avait expliqué son acte "par ce qu'il considérait comme des blasphèmes" proférés selon lui ces derniers mois par Yvan Colonna, a rapporté dimanche le procureur national antiterroriste Jean-François Ricard lors d'une conférence de presse.
Le militant corse aurait notamment déclaré quelques jours avant l'agression qu'il "crachait sur Dieu", selon M. Ricard.