Le nouveau texte prévoit entre autre la possibilité de la mise en place d'une stratégie d'enrayement de la maladie en Corse. Les conditions de circulation des végétaux à l'intérieur de l'île seront simplifiées. Il sera possible de procéder, sous certaines conditions, à la plantation des végétaux hôtes dans la zone d'enrayement. Les sorties de Corse de plants de végétaux d'espèces sensibles destinés à la plantation restent interdites, sauf dérogations limitées exigeant des conditions de production très strictes.
Par ailleurs, l'analyse de risque permettant de déroger à l'introduction de plants de végétaux sensibles en Corse va être révisée.
À la demande du préfet de Corse, un appui des Conseils Généraux de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Espaces Ruraux et de l'Environnement et du Développement Durable a été obtenu auprès des ministères de l’Agriculture et de la Transition écologique et solidaire pour diligenter une mission conjointe. Son objectif est de proposer, en considérant les particularités de la situation en Corse, des mesures spécifiques afin de garantir une protection optimale des filières agricoles et ornementales et de la biodiversité de l’île.
-
Lutte contre la bactérie Xylella fastidiosa : la requête des oléiculteurs corses rejetée
-
L’Etat veut une vision transparente de la stratégie insulaire de lutte contre la Xylella fastidiosa
-
Xylella fastidiosa : Un dossier préoccupant
-
Xylella fastidiosa : L’Office de l’environnement et l’ODARC répondent aux oléiculteurs et renvoient la balle à l’Etat
-
Xylella fastidiosa : Les oléiculteurs dénoncent, preuves à l’appui, les « mensonges » de l’Etat !









Envoyer à un ami
Version imprimable





