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Agacement, samedi soir, autour du vol Brest-Bastia opéré par la compagnie low-cost Volotea. Les 82 passagers au départ de Brest devaient décoller à 21 h 30 pour la Corse.
Retardé pour une difficulté technique, à minuit, l'avion n'était toujours pas arrivé à Brest.
Finalement, après une collation servie à l'aéroport de Brest autour de 22 heures, c'est en autobus affrété par la compagnie que les passagers (dont certains étaient rentrés chez eux) ont rejoint Nantes pour décoller à 5 heures du matin (arrivée à Bastia à 6 h 05).
Le mécontentement était perceptible du côté des passagers, qui affirment avoir manqué d'informations au départ de Brest, malgré « la meilleure volonté et le sourire des hôtesses de la CCI ».
Un peu avant minuit, les passagers ont dû récupérer leurs bagages enregistrés pour grimper dans le bus et rejoindre Nantes où l'avion a fini par se poser.
« C'est toujours difficile de savoir quand un appareil qui connaît un problème technique, et est plusieurs fois recalé, peut arriver, observe Philippe Morel, le directeur d'exploitation de l'aéroport. De notre côté, samedi soir, nous avons activé aussi vite qu'on a pu une équipe pour accompagner ces passagers. Et il faut souligner que, malgré le retard, la compagnie a tout entrepris pour maintenir la rotation ».
Agacement, samedi soir, autour du vol Brest-Bastia opéré par la compagnie low-cost Volotea. Les 82 passagers au départ de Brest devaient décoller à 21 h 30 pour la Corse.
Retardé pour une difficulté technique, à minuit, l'avion n'était toujours pas arrivé à Brest.
Finalement, après une collation servie à l'aéroport de Brest autour de 22 heures, c'est en autobus affrété par la compagnie que les passagers (dont certains étaient rentrés chez eux) ont rejoint Nantes pour décoller à 5 heures du matin (arrivée à Bastia à 6 h 05).
Le mécontentement était perceptible du côté des passagers, qui affirment avoir manqué d'informations au départ de Brest, malgré « la meilleure volonté et le sourire des hôtesses de la CCI ».
Un peu avant minuit, les passagers ont dû récupérer leurs bagages enregistrés pour grimper dans le bus et rejoindre Nantes où l'avion a fini par se poser.
« C'est toujours difficile de savoir quand un appareil qui connaît un problème technique, et est plusieurs fois recalé, peut arriver, observe Philippe Morel, le directeur d'exploitation de l'aéroport. De notre côté, samedi soir, nous avons activé aussi vite qu'on a pu une équipe pour accompagner ces passagers. Et il faut souligner que, malgré le retard, la compagnie a tout entrepris pour maintenir la rotation ».