Arrivé nettement en pôle position au soir du premier tour, Gilles Simeoni, depuis Ajaccio, où ce mardi 22 juin a lieu le premier débat de l’entre-deux tours, a réitéré sa position d’avant la campagne. « Gagner cette élection et créer les conditions d’un projet d’émancipation pour la Corse. »
Un projet et surtout un deuxième tour où le leader de la liste Fà populu inseme n’a, finalement pas souhaité intégrer d’autres composantes de sa famille politique, ce en dépit de sa volonté d’élargir. « C’est un choix, poursuit-il, qui est en cohérence avec la ligue politique que nous nous sommes tracés. Nous pensons qu’il faut construire un rassemblement le plus large possible et cela se fera sur des valeurs et un projet basés sur l’intérêt général et l’écoute. Cela n’a pas souhaité être repris par nos partenaires potentiels, nous en prenons acte et nous repartirons avec le même engagement et la même détermination qu’au premier tour.»
Si l’on savait depuis la campagne de ces territoriales, qu'il ne serait pas question de négocier avec la liste « Core in Fronte », elles n’ont donc pas abouti non plus avec le PNC et Corsica Libera, une logique qui d'une certaine achève de marquer la rupture avec les deux autres composantes de « Pè a Corsica ».
S’agissant d’un éventuel troisième tour incluant de nouvelles discussions, Gilles Simeoni s’est contenté de botter en touche. « Le premier tour, qui a été l’occasion d’une grande victoire, est derrière nous. Le deuxième tour sera décisif. Nous souhaitons que les Corses élargissent encore la confiance qu’ils nous ont accordé.. »
Quid du troisième? Réponse après le 27 juin.
Un projet et surtout un deuxième tour où le leader de la liste Fà populu inseme n’a, finalement pas souhaité intégrer d’autres composantes de sa famille politique, ce en dépit de sa volonté d’élargir. « C’est un choix, poursuit-il, qui est en cohérence avec la ligue politique que nous nous sommes tracés. Nous pensons qu’il faut construire un rassemblement le plus large possible et cela se fera sur des valeurs et un projet basés sur l’intérêt général et l’écoute. Cela n’a pas souhaité être repris par nos partenaires potentiels, nous en prenons acte et nous repartirons avec le même engagement et la même détermination qu’au premier tour.»
Si l’on savait depuis la campagne de ces territoriales, qu'il ne serait pas question de négocier avec la liste « Core in Fronte », elles n’ont donc pas abouti non plus avec le PNC et Corsica Libera, une logique qui d'une certaine achève de marquer la rupture avec les deux autres composantes de « Pè a Corsica ».
S’agissant d’un éventuel troisième tour incluant de nouvelles discussions, Gilles Simeoni s’est contenté de botter en touche. « Le premier tour, qui a été l’occasion d’une grande victoire, est derrière nous. Le deuxième tour sera décisif. Nous souhaitons que les Corses élargissent encore la confiance qu’ils nous ont accordé.. »
Quid du troisième? Réponse après le 27 juin.