Dominique Alzeari, procureur de la République de Bastia
Victor Ribeiro était au volant de son véhicule, un 4X4 aux vitres fumées, lorsqu'il a été pris pour cible à plusieurs reprises par un ou plusieurs tireurs qui qui l'attendaient sur la route qui, à Prunete, mène du bord de mer à la route Nationale 198. Selon les premiers éléments de l'enquête Victor Ribeiro que tout le monde appelait et connaissait sous le prénom de Victor dans la région, aurait touché deux fois à la tête par les tirs d'un commando cagoulé qui l'attendait sur la route.
La victime habitait La Porta où il s'était marié.
Un commando sur la route
Selon ce qu'il nous a été donné d'apprendre, Victor Ribeiro venait à peine de regagner son véhicule, après avoir déjeuné dans un restaurant du bord de mer avec son épouse et son fils, quand il a été pris sous le feu nourri de un ou plusieurs tireurs.
"Plusieurs personnes armées d'armes longues et cagoulées l'ont bloqué et ont fait feu sur lui à plusieurs reprises. Il est décédé immédiatement", précisait sur place Dominique Alzéari, le procureur de la République de Bastia.
La scène s'est déroulée sous les yeux d'un employé, son épouse et son fils, qui le suivait la victime en voiture ce qui ajoute au caractère dramatique de la situation.
Dominique Alzéari a, aussi, confirmé que Victor Ribeiro avait été tué de plusieurs décharges de chevrotines tirées au niveau de la tête et du thorax.
Déjà plusieurs victimes de mort violente
Une trentaine d'enquêteurs - Gendarmerie et police Judiciaire - est aussitôt arrivée sur place pour essayer de déterminer le déroulement du guet-apens dont Victor Ribeiro a été victime mais aussi et surtout pour essayer de comprendre pourquoi après 17 autres personnes depuis le début de l'année, on a décidé de lui ôter la vie dans un microrégion qui compte, déjà, plusieurs victimes de mort violente.
Mais sur place les enquêteurs rappelaient que la victime avait longtemps travaillé sur divers chantiers de la région avec Charles-Philippe Paoli assassiné à la fin du mois de Juin à Folelli. Un assassinat qui avait été suivi par celui, revendiqué par le FLNC, le 29 Octobre de la même année à Moriani-Plage de Christian Leoni.
"Vendredi 28 octobre, un de nos commandos, lancé à sa recherche dans la région de Moriani, a procédé à l'élimination physique de Christian Leoni, responsable du groupe mafieux, auteur de l'assassinat de notre militant Philippe Paoli", écrivait à l'époque le FLNC dans son communiqué de revendication.
La victime habitait La Porta où il s'était marié.
Un commando sur la route
Selon ce qu'il nous a été donné d'apprendre, Victor Ribeiro venait à peine de regagner son véhicule, après avoir déjeuné dans un restaurant du bord de mer avec son épouse et son fils, quand il a été pris sous le feu nourri de un ou plusieurs tireurs.
"Plusieurs personnes armées d'armes longues et cagoulées l'ont bloqué et ont fait feu sur lui à plusieurs reprises. Il est décédé immédiatement", précisait sur place Dominique Alzéari, le procureur de la République de Bastia.
La scène s'est déroulée sous les yeux d'un employé, son épouse et son fils, qui le suivait la victime en voiture ce qui ajoute au caractère dramatique de la situation.
Dominique Alzéari a, aussi, confirmé que Victor Ribeiro avait été tué de plusieurs décharges de chevrotines tirées au niveau de la tête et du thorax.
Déjà plusieurs victimes de mort violente
Une trentaine d'enquêteurs - Gendarmerie et police Judiciaire - est aussitôt arrivée sur place pour essayer de déterminer le déroulement du guet-apens dont Victor Ribeiro a été victime mais aussi et surtout pour essayer de comprendre pourquoi après 17 autres personnes depuis le début de l'année, on a décidé de lui ôter la vie dans un microrégion qui compte, déjà, plusieurs victimes de mort violente.
Mais sur place les enquêteurs rappelaient que la victime avait longtemps travaillé sur divers chantiers de la région avec Charles-Philippe Paoli assassiné à la fin du mois de Juin à Folelli. Un assassinat qui avait été suivi par celui, revendiqué par le FLNC, le 29 Octobre de la même année à Moriani-Plage de Christian Leoni.
"Vendredi 28 octobre, un de nos commandos, lancé à sa recherche dans la région de Moriani, a procédé à l'élimination physique de Christian Leoni, responsable du groupe mafieux, auteur de l'assassinat de notre militant Philippe Paoli", écrivait à l'époque le FLNC dans son communiqué de revendication.
Déjà plusieurs victimes de mort violente
Une trentaine d'enquêteurs - Gendarmerie et police Judiciaire - est aussitôt arrivée sur place pour essayer de déterminer le déroulement du guet-apens dont Victor Ribeiro a été victime mais aussi et surtout pour essayer de comprendre pourquoi après 17 autres personnes depuis le début de l'année, on a décidé de lui ôter la vie dans un microrégion qui compte, déjà, plusieurs victimes de mort violente.
Mais sur place les enquêteurs rappelaient que la victime avait longtemps travaillé sur divers chantiers de la région avec Charles-Philippe Paoli assassiné à la fin du mois de Juin à Folelli. Un assassinat qui avait été suivi par celui, revendiqué par le FLNC, le 29 Octobre de la même année à Moriani-Plage de Christian Leoni.
"Vendredi 28 octobre, un de nos commandos, lancé à sa recherche dans la région de Moriani, a procédé à l'élimination physique de Christian Leoni, responsable du groupe mafieux, auteur de l'assassinat de notre militant Philippe Paoli", écrivait à l'époque le FLNC dans son communiqué de revendication.
Mais sur place les enquêteurs rappelaient que la victime avait longtemps travaillé sur divers chantiers de la région avec Charles-Philippe Paoli assassiné à la fin du mois de Juin à Folelli. Un assassinat qui avait été suivi par celui, revendiqué par le FLNC, le 29 Octobre de la même année à Moriani-Plage de Christian Leoni.
"Vendredi 28 octobre, un de nos commandos, lancé à sa recherche dans la région de Moriani, a procédé à l'élimination physique de Christian Leoni, responsable du groupe mafieux, auteur de l'assassinat de notre militant Philippe Paoli", écrivait à l'époque le FLNC dans son communiqué de revendication.
Valls : ' Les Corses ont droit à la protection de l'Etat et de la République
Manuel Valls qui sera encore en Corse dimanche et lundi, en écho aux interventions des députés insulaires, a persisté et signé en répétant quel'État comme les Corses devaient "assumer leurs responsabilités" face à la criminalité galopante sur l'ïle. "Nous avons besoin que l'État assume totalement ses responsabilités. Nous avons besoin que les Corses assument leurs responsabilités et nous avons besoin qu'ensemble nous combattions tous ce fléau parce que la Corse a besoin de cette protection", a martelé Manuel Valls en rappelant que "la Corse, c'est la France. La Corse, c'est la République. Les Corses sont des Français, ils ont donc droit à la protection de l'État et de la République;"