Une décision contestée
Pour l’association, la décision de justice repose sur une erreur d’interprétation de la loi. « Cette croix ne violait aucune réglementation, elle appartenait à l’histoire du lieu, pas à un débat d’idéologie », estime S.O.S Calvaires, qui dénonce un effacement du patrimoine au nom d’une laïcité « mal comprise ».
L’organisation, spécialisée dans la restauration du petit patrimoine religieux, rappelle que la croix concernée est un élément ancien, enraciné dans la mémoire collective du village. Elle s’inquiète d’une tendance nationale à la disparition progressive de ces symboles ruraux.
Un patrimoine en sursis
Les bénévoles de l’association étaient encore présents en Corse au printemps dernier pour restaurer plusieurs calvaires anciens. « Nous avons rencontré des habitants profondément attachés à leurs croix », souligne S.O.S Calvaires, qui dit leur apporter son soutien « face à une décision injuste ».
Un débat qui dépasse l’île
Le cas de Quasquara intervient dans un contexte plus large : en quelques jours, plusieurs croix ont été déplacées ou retirées en France. À Montgenèvre (Hautes-Alpes), une croix a été démontée par hélicoptère à la demande de la mairie, pour des raisons administratives. À Nantes, un calvaire a été relégué au milieu de poubelles.
Pour S.O.S Calvaires, ces épisodes traduisent « une méconnaissance croissante du sens de ces monuments ». L’association rappelle que ces croix ne sont pas des signes de revendication religieuse, mais « des repères de mémoire et d’histoire ».
Préserver plutôt qu’effacer
Créée en 1987, S.O.S Calvaires œuvre à la restauration de croix, oratoires et statues à travers tout le pays, revendiquant près de 4 000 bénévoles et plus de 90 antennes locales. Elle plaide pour « la continuité plutôt que la rupture » dans la gestion du patrimoine rural.
Pour l’association, la décision de justice repose sur une erreur d’interprétation de la loi. « Cette croix ne violait aucune réglementation, elle appartenait à l’histoire du lieu, pas à un débat d’idéologie », estime S.O.S Calvaires, qui dénonce un effacement du patrimoine au nom d’une laïcité « mal comprise ».
L’organisation, spécialisée dans la restauration du petit patrimoine religieux, rappelle que la croix concernée est un élément ancien, enraciné dans la mémoire collective du village. Elle s’inquiète d’une tendance nationale à la disparition progressive de ces symboles ruraux.
Un patrimoine en sursis
Les bénévoles de l’association étaient encore présents en Corse au printemps dernier pour restaurer plusieurs calvaires anciens. « Nous avons rencontré des habitants profondément attachés à leurs croix », souligne S.O.S Calvaires, qui dit leur apporter son soutien « face à une décision injuste ».
Un débat qui dépasse l’île
Le cas de Quasquara intervient dans un contexte plus large : en quelques jours, plusieurs croix ont été déplacées ou retirées en France. À Montgenèvre (Hautes-Alpes), une croix a été démontée par hélicoptère à la demande de la mairie, pour des raisons administratives. À Nantes, un calvaire a été relégué au milieu de poubelles.
Pour S.O.S Calvaires, ces épisodes traduisent « une méconnaissance croissante du sens de ces monuments ». L’association rappelle que ces croix ne sont pas des signes de revendication religieuse, mais « des repères de mémoire et d’histoire ».
Préserver plutôt qu’effacer
Créée en 1987, S.O.S Calvaires œuvre à la restauration de croix, oratoires et statues à travers tout le pays, revendiquant près de 4 000 bénévoles et plus de 90 antennes locales. Elle plaide pour « la continuité plutôt que la rupture » dans la gestion du patrimoine rural.
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