- Parlez-nous de ce but obtenu face à Laval : il vous a fait du bien ?
- Oui il a fait du bien mais ce que je retiens c'est que nous avons encore fait match nul et moi ce qui m'importe, ce sont les trois points de la victoire. Et gagner des matches, car à engranger, ainsi, point par point on n'ira pas aller loin…
- Que faut-il faire pour, enfin, retrouver le CAB ?
- Se lâcher, se "débrider", gagner notre premier match et obtenir les 3 points pour vraiment lancer la saison. On sait que tous les matches sont difficiles, mais si on arrive à gagner une partie il sera difficile, ensuite, de venir gagner chez nous.
- Quel est le discours entre vous dans les vestiaires ?
- Pour l'instant, c'est toujours le même : on fait surtout état de regrets. Mais on est surtout conscient du fait que, parfois, tout se joue sur un détail. Sur ces occasions franches que nous n'avons pas pu concrétiser où ces fautes commises derrière. Nous sommes en Ligue 2 et les erreurs ne pardonnent pas. Le constat pour le moment est toujours le même : ça se joue sur des petits rien qu'exploitent sans états d'âme ces équipes qui nous sont supérieures.
- Troyes puis Tours après la trève : le CAB devra se surpasser au cours des deux rencontres à venir…
- On le sait de longue date, tous les matches sont durs. Qu'on joue Troyes ou Tours ou un autre adversaire il faut prendre des points à l'extérieur et gagner à la maison. Ce qui nous ferait du bien, c'est une petite série pour essayer de recoller au classement. Pour le reste nous savions que nous jouerions le maintien jusqu'à la 38ème journée.
- Est-ce qu'il ne faudrait pas revenir jouer à Erbajolo ?
- Non… C'est vrai qu'ici c'est un peu particulier. On se crée des occasions sur un grand terrain et on joue sur une pelouse : il faut juste opérer quelques ajustements. Mais on va y arriver.
- La Ligue 2 pour Romain Pastorelli ?
- L'apprentissage de la Ligue 2 a été un peu difficile pour tout le monde. Sur un plan personnel, j'ai eu quelques occasions, je ne les ai pas mises au fond. Mais il ne faut pas douter. Ça va venir…
- Oui il a fait du bien mais ce que je retiens c'est que nous avons encore fait match nul et moi ce qui m'importe, ce sont les trois points de la victoire. Et gagner des matches, car à engranger, ainsi, point par point on n'ira pas aller loin…
- Que faut-il faire pour, enfin, retrouver le CAB ?
- Se lâcher, se "débrider", gagner notre premier match et obtenir les 3 points pour vraiment lancer la saison. On sait que tous les matches sont difficiles, mais si on arrive à gagner une partie il sera difficile, ensuite, de venir gagner chez nous.
- Quel est le discours entre vous dans les vestiaires ?
- Pour l'instant, c'est toujours le même : on fait surtout état de regrets. Mais on est surtout conscient du fait que, parfois, tout se joue sur un détail. Sur ces occasions franches que nous n'avons pas pu concrétiser où ces fautes commises derrière. Nous sommes en Ligue 2 et les erreurs ne pardonnent pas. Le constat pour le moment est toujours le même : ça se joue sur des petits rien qu'exploitent sans états d'âme ces équipes qui nous sont supérieures.
- Troyes puis Tours après la trève : le CAB devra se surpasser au cours des deux rencontres à venir…
- On le sait de longue date, tous les matches sont durs. Qu'on joue Troyes ou Tours ou un autre adversaire il faut prendre des points à l'extérieur et gagner à la maison. Ce qui nous ferait du bien, c'est une petite série pour essayer de recoller au classement. Pour le reste nous savions que nous jouerions le maintien jusqu'à la 38ème journée.
- Est-ce qu'il ne faudrait pas revenir jouer à Erbajolo ?
- Non… C'est vrai qu'ici c'est un peu particulier. On se crée des occasions sur un grand terrain et on joue sur une pelouse : il faut juste opérer quelques ajustements. Mais on va y arriver.
- La Ligue 2 pour Romain Pastorelli ?
- L'apprentissage de la Ligue 2 a été un peu difficile pour tout le monde. Sur un plan personnel, j'ai eu quelques occasions, je ne les ai pas mises au fond. Mais il ne faut pas douter. Ça va venir…