La Corse est dans une situation économique très difficile parce que, à sa propre crise chronique, se surajoute une crise internationale préoccupante, l’Union Européenne et la France n’étant pas épargnées ; les transports maritimes corses souffrent notamment de l’affaire de la SNCM, menacée dans son existence, imprévisible dans sa solution et son calendrier et dont les répercussions sont graves pour l’économie insulaire et ceci pour deux saisons estivales consécutives.
Le projet de suppression de la ligne Pruprià-Sardaigne –seule véritable ligne commerciale entre les deux îles- vient aggraver la situation. Les populations du Valincu, de Sartène et de manière plus générale de l’Extrême Sud de la Corse, sont inquiètes devant cette hérésie politique et économique.
Cette ligne est menacée directement dans son existence ; son maintien est assuré par la seule volonté et l’engagement financier de la Compagnie CMN jusqu’au 1 er Octobre 2015 mais pas au-delà.
Nous proposons, au Président du Conseil Exécutif de confirmer l’engagement de la CTC pour des liaisons pérennes, stables et élargies entre la Corse et la Sardaigne ; il semble utile d’explorer rapidement la possibilité d’une continuité territoriale européenne comme le préconise le Président du CESE, Henri Malosse.
Femu a Corsica est solidaire du « Cullitivu, Prubià portu vivu » et du Cullitivu Da Fà » qui défendent les intérêts économiques de l’île, notamment à travers la problématique des transports maritimes insulaires.
Le projet de suppression de la ligne Pruprià-Sardaigne –seule véritable ligne commerciale entre les deux îles- vient aggraver la situation. Les populations du Valincu, de Sartène et de manière plus générale de l’Extrême Sud de la Corse, sont inquiètes devant cette hérésie politique et économique.
Cette ligne est menacée directement dans son existence ; son maintien est assuré par la seule volonté et l’engagement financier de la Compagnie CMN jusqu’au 1 er Octobre 2015 mais pas au-delà.
Nous proposons, au Président du Conseil Exécutif de confirmer l’engagement de la CTC pour des liaisons pérennes, stables et élargies entre la Corse et la Sardaigne ; il semble utile d’explorer rapidement la possibilité d’une continuité territoriale européenne comme le préconise le Président du CESE, Henri Malosse.
Femu a Corsica est solidaire du « Cullitivu, Prubià portu vivu » et du Cullitivu Da Fà » qui défendent les intérêts économiques de l’île, notamment à travers la problématique des transports maritimes insulaires.