Cette réunion, rapporte Marsactu, doit examiner deux plans en balance. A la direction de la SNCM, toujours selon Marsctu, on confirme l'existence des deux plans.
Celui du management propose le classique effort d'investissement dans une nouvelle flotte, notamment défendu par une partie des personnels.
En revanche, l'actionnaire principal, Veolia, proposera l'abandon des deux ferries - Napoléon Bonaparte et Danielle Casanova - qui assurent la liaison avec la Corse ainsi que la desserte au départ de Toulon. Lequel abandon se traduirait par le licenciement de 800 salariés de la compagnie maritime.
Aux dires de Roland Blum, l'Etat qui siège au conseil de surveillance serait une nouvelle fois aux abonnés absents.
Selon le coordinateur interministériel, Jean-Marc Lacave, cité par Le Marin du 14 juin, l'Etat n'accepterait aucun licenciement contraint. En revanche, il plaide pour un rapprochement entre les deux plans. Cela se traduirait forcément par une augmentation du nombre de départs volontaires évoqués dans le plan défendu par le management de la SNCM.
Réponse jeudi.
Celui du management propose le classique effort d'investissement dans une nouvelle flotte, notamment défendu par une partie des personnels.
En revanche, l'actionnaire principal, Veolia, proposera l'abandon des deux ferries - Napoléon Bonaparte et Danielle Casanova - qui assurent la liaison avec la Corse ainsi que la desserte au départ de Toulon. Lequel abandon se traduirait par le licenciement de 800 salariés de la compagnie maritime.
Aux dires de Roland Blum, l'Etat qui siège au conseil de surveillance serait une nouvelle fois aux abonnés absents.
Selon le coordinateur interministériel, Jean-Marc Lacave, cité par Le Marin du 14 juin, l'Etat n'accepterait aucun licenciement contraint. En revanche, il plaide pour un rapprochement entre les deux plans. Cela se traduirait forcément par une augmentation du nombre de départs volontaires évoqués dans le plan défendu par le management de la SNCM.
Réponse jeudi.
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