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55 548 voix soit 40,64% des suffrages exprimés. C'est la majorité absolue assurée pour Fà Populu Inseme et Gilles Simeoni qui, avec 32 sièges à la clef de leur incontestable succès, sont partis pour assurer une mandature qui devrait faire moins de vagues que la précédente. Cette dernière avait, chemin faisant, perdu la cohésion ayant fait sa force à son avènement.
Aujourd'hui, Gilles Simeoni et ses colistiers ont en main tous les outils dont dispose la Collectivité de Corse pour faire avancer le pays. Mais au-delà de ces outils, il y a aussi toutes les femmes et tous les hommes, rassemblés sous la même bannière, qui pourraient permettre au président du Conseil exécutif de mener la politique qu'il voudra sans à avoir à attendre le moindre soutien, ou avis, venu d'ailleurs.
Mais à l'entendre s'exprimer après son succès, on voit mal Gilles Simeoni prendre la voie d'une telle gouvernance. Le mot ouverture est revenu à plusieurs reprises dans sa réaction à chaud. Une ouverture vers qui ? Certainement avec les autres Nationalistes, ceux de la "majorité patriotique" - 67,97% pour les 3 formations -, ainsi que les qualifie Paul-Felix Benedetti qui est, sans nul doute, l'autre grand gagnant de cette élection. Mais ce ne sera pas sans en discuter auparavant notamment en interne. Il s'agit, pour lui, d'éviter les dérapages de l'ex-attelage majoritaire et d'où Corsica Libera et le PNC sont sortis considérablement affaiblis.
Côté opposition, Laurent Marcangeli sera un rude opposant qui ne laissera, sans doute, rien passer et qui fera retentir la voix de la droite dans l'hémicycle du cours Grandval.
Premier match entre majorité territoriale et patriotique et Un soffiu novu, dès jeudi !
55 548 voix soit 40,64% des suffrages exprimés. C'est la majorité absolue assurée pour Fà Populu Inseme et Gilles Simeoni qui, avec 32 sièges à la clef de leur incontestable succès, sont partis pour assurer une mandature qui devrait faire moins de vagues que la précédente. Cette dernière avait, chemin faisant, perdu la cohésion ayant fait sa force à son avènement.
Aujourd'hui, Gilles Simeoni et ses colistiers ont en main tous les outils dont dispose la Collectivité de Corse pour faire avancer le pays. Mais au-delà de ces outils, il y a aussi toutes les femmes et tous les hommes, rassemblés sous la même bannière, qui pourraient permettre au président du Conseil exécutif de mener la politique qu'il voudra sans à avoir à attendre le moindre soutien, ou avis, venu d'ailleurs.
Mais à l'entendre s'exprimer après son succès, on voit mal Gilles Simeoni prendre la voie d'une telle gouvernance. Le mot ouverture est revenu à plusieurs reprises dans sa réaction à chaud. Une ouverture vers qui ? Certainement avec les autres Nationalistes, ceux de la "majorité patriotique" - 67,97% pour les 3 formations -, ainsi que les qualifie Paul-Felix Benedetti qui est, sans nul doute, l'autre grand gagnant de cette élection. Mais ce ne sera pas sans en discuter auparavant notamment en interne. Il s'agit, pour lui, d'éviter les dérapages de l'ex-attelage majoritaire et d'où Corsica Libera et le PNC sont sortis considérablement affaiblis.
Côté opposition, Laurent Marcangeli sera un rude opposant qui ne laissera, sans doute, rien passer et qui fera retentir la voix de la droite dans l'hémicycle du cours Grandval.
Premier match entre majorité territoriale et patriotique et Un soffiu novu, dès jeudi !
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