Cette comparution devant le TGI de la ville faisait suite la plainte de l'arbitre déposée par l'arbitre de la rencontre de la rencontre, Tony Chapron en l'occurrence, pour "menaces de mort" notamment.
Le président du GFCA avait reçu, pour la circonstance, le soutien de plusieurs supporters et joueurs du GFCA..
Le procureur de la République a requis 10 mois de prison avec sursis, 18 mois de mise à l’épreuve, 18 mois d’interdiction de stade et une lourde sanction financière.
"Je suis vexé de me retrouver à mon âge dans le banc des accusés alors que de toute ma vie je n'ai jamais fait de mal à personne" expliquait avant les débats devant la presse l'emblématique dirigeant du GFCA.
"Comment peut on m'accuser de menaces de mort ?"
Pour Antoine Vinier-Orsetti, défenseur, du président du GFCA. "ce dossier, si les faits paraîssent constitués au tribunal, ne vaut pas plus qu'une amende avec sursis. Mais j'ai l'impression qu'à travers du procès de M. François
Tagliagliol c'est le procès du football et du football corse qui a été fait par Mme le procureur de la République et on s'est trompé de procès."
Dumè Ferrari, avocat de la partie civile, expliquait, lui aussi devant les caméras de France 3, que les contraintes du football professionnel étaient incontournables. "Il y a des règles à respecter, les arbitres sont très protégés et les actions, physiques ou verbales, qui sont menées contre eux sont sévèrement sanctionnées. Il faut faire attention surtout lorsque l'on arrive à un certain niveau."
Au terme de deux heures d'audience, le TGI a mis son jugement en délibéré jusqu'au 12 Juillet.
Le président du GFCA avait reçu, pour la circonstance, le soutien de plusieurs supporters et joueurs du GFCA..
Le procureur de la République a requis 10 mois de prison avec sursis, 18 mois de mise à l’épreuve, 18 mois d’interdiction de stade et une lourde sanction financière.
"Je suis vexé de me retrouver à mon âge dans le banc des accusés alors que de toute ma vie je n'ai jamais fait de mal à personne" expliquait avant les débats devant la presse l'emblématique dirigeant du GFCA.
"Comment peut on m'accuser de menaces de mort ?"
Pour Antoine Vinier-Orsetti, défenseur, du président du GFCA. "ce dossier, si les faits paraîssent constitués au tribunal, ne vaut pas plus qu'une amende avec sursis. Mais j'ai l'impression qu'à travers du procès de M. François
Tagliagliol c'est le procès du football et du football corse qui a été fait par Mme le procureur de la République et on s'est trompé de procès."
Dumè Ferrari, avocat de la partie civile, expliquait, lui aussi devant les caméras de France 3, que les contraintes du football professionnel étaient incontournables. "Il y a des règles à respecter, les arbitres sont très protégés et les actions, physiques ou verbales, qui sont menées contre eux sont sévèrement sanctionnées. Il faut faire attention surtout lorsque l'on arrive à un certain niveau."
Au terme de deux heures d'audience, le TGI a mis son jugement en délibéré jusqu'au 12 Juillet.
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