A 18 heures, en l’église paroissiale de Calvi, l’archiprête Ange-Michel Valery célébrait l’office religieux.
Au premier rang des fidèles, on notait la présence de Ange Santini, maire de Calvi, conseiller territorial et membre du Conseil Economique, Social et Environnemental, Jean-Toussaint Guglielmacci, adjoint au maire de Calvi, conseiller général de Calvi – Lumio, Eugène Ceccaldi, maire de Lumio, Frédéric Guglielmi, secrétaire général de la sous-préfecture de Calvi, commandant Patrick Botey, chef du Groupement Balagne du Sdis, capitaine Frédéric Antoine Santoni, chef du centre de secours de Calvi, commandant Louis Bicchieray, commandant Régis Barillot, commandant la compagnie de gendarmerie de Calvi – Balagne….
A noter également la présence de nombreux pompiers et leurs familles mais aussi des jeunes sapeurs-pompiers.
Dans son homélie l’archiprêtre Valery rendait hommage aux pompiers qui exercent un métier difficile, avec beaucoup de courage et d’humilité. « Vaincre ou périr » est on le sait la devise des pompiers dont on ne soulignera jamais assez leur engagement.
L’Archiprête soulignait ensuite l’attachement de Barbe au christianisme.
Barbe vivait au milieu du IIIe siècle à Nicomédie en Asie Mineure, aujourd'hui Izmit, un port de Turquie. Son père, un riche païen du nom de Dioscore, pour la protéger de ses prétendants, l'enferma dans une tour. Au retour d'un voyage, sa fille lui apprit qu'elle s’était convertie au Christianisme durant son absence. Furieux, le père mit le feu à la tour mais Barbe réussit à s'enfuir et se réfugia dans les rochers des environs. Par malheur, un berger découvrit la cachette et avertit son père. Ce dernier la traîna alors devant le gouverneur romain de la province qui la condamna à d'affreux supplices. Comme la pieuse jeune fille continuait à invoquer le Christ, le gouverneur ordonna au père de trancher lui-même la tête de sa fille. Dioscore obéit et fut aussitôt châtié par le Ciel. La foudre le tua sur place.
Depuis ce jour, Sainte-Barbe protège contre la foudre et la mort subite, donc contre le tristement célèbre coup de grisou, hantise des mineurs. Elle est la patronne des mineurs mais aussi des pompiers, des artificiers, des artilleurs et des carriers qui utilisent des explosifs pour entamer la roche.
La cérémonie se poursuivait avec la prière des pompiers récitée par de jeunes sapeurs-pompiers : « « Seigneur, me voici devant toi, moi sapeur-pompier. Donne-moi la force d’être toujours disponible pour aller aider et secourir les personnes en difficulté ou en danger.
Qu’en toute personne qui crie à l’aide, je vois l’image du Christ Jésus et mon prochain à secourir.
Si l’angoisse me prend devant l’ampleur d’un sinistre, donne-moi le courage d’un vrai soldat du feu, prêt à lutter pour assurer la sécurité de tous.
« Sauver ou périr », telle est notre devise. Seigneur, fais que je puisse sauver beaucoup de personnes sans m’enorgueillir, même au péril de ma vie.
S’il fallait périr, reçois-moi dans ta lumière, Seigneur Jésus, toi qui a péri pour nous sauver.
J’ose encore te demander de bénir ma famille qui souvent s’inquiète quand je suis en service.
Que Sainte-Barbe, notre patronne protège mes compagnons et moi-même.
Amen »
A l’issue de la messe, pompiers et personnalités se retrouvaient pour le port de l’amitié au chalet de l’Amicale des pompiers installé au cœur du village de Noël et de la patinoire de Calvi.
Au premier rang des fidèles, on notait la présence de Ange Santini, maire de Calvi, conseiller territorial et membre du Conseil Economique, Social et Environnemental, Jean-Toussaint Guglielmacci, adjoint au maire de Calvi, conseiller général de Calvi – Lumio, Eugène Ceccaldi, maire de Lumio, Frédéric Guglielmi, secrétaire général de la sous-préfecture de Calvi, commandant Patrick Botey, chef du Groupement Balagne du Sdis, capitaine Frédéric Antoine Santoni, chef du centre de secours de Calvi, commandant Louis Bicchieray, commandant Régis Barillot, commandant la compagnie de gendarmerie de Calvi – Balagne….
A noter également la présence de nombreux pompiers et leurs familles mais aussi des jeunes sapeurs-pompiers.
Dans son homélie l’archiprêtre Valery rendait hommage aux pompiers qui exercent un métier difficile, avec beaucoup de courage et d’humilité. « Vaincre ou périr » est on le sait la devise des pompiers dont on ne soulignera jamais assez leur engagement.
L’Archiprête soulignait ensuite l’attachement de Barbe au christianisme.
Barbe vivait au milieu du IIIe siècle à Nicomédie en Asie Mineure, aujourd'hui Izmit, un port de Turquie. Son père, un riche païen du nom de Dioscore, pour la protéger de ses prétendants, l'enferma dans une tour. Au retour d'un voyage, sa fille lui apprit qu'elle s’était convertie au Christianisme durant son absence. Furieux, le père mit le feu à la tour mais Barbe réussit à s'enfuir et se réfugia dans les rochers des environs. Par malheur, un berger découvrit la cachette et avertit son père. Ce dernier la traîna alors devant le gouverneur romain de la province qui la condamna à d'affreux supplices. Comme la pieuse jeune fille continuait à invoquer le Christ, le gouverneur ordonna au père de trancher lui-même la tête de sa fille. Dioscore obéit et fut aussitôt châtié par le Ciel. La foudre le tua sur place.
Depuis ce jour, Sainte-Barbe protège contre la foudre et la mort subite, donc contre le tristement célèbre coup de grisou, hantise des mineurs. Elle est la patronne des mineurs mais aussi des pompiers, des artificiers, des artilleurs et des carriers qui utilisent des explosifs pour entamer la roche.
La cérémonie se poursuivait avec la prière des pompiers récitée par de jeunes sapeurs-pompiers : « « Seigneur, me voici devant toi, moi sapeur-pompier. Donne-moi la force d’être toujours disponible pour aller aider et secourir les personnes en difficulté ou en danger.
Qu’en toute personne qui crie à l’aide, je vois l’image du Christ Jésus et mon prochain à secourir.
Si l’angoisse me prend devant l’ampleur d’un sinistre, donne-moi le courage d’un vrai soldat du feu, prêt à lutter pour assurer la sécurité de tous.
« Sauver ou périr », telle est notre devise. Seigneur, fais que je puisse sauver beaucoup de personnes sans m’enorgueillir, même au péril de ma vie.
S’il fallait périr, reçois-moi dans ta lumière, Seigneur Jésus, toi qui a péri pour nous sauver.
J’ose encore te demander de bénir ma famille qui souvent s’inquiète quand je suis en service.
Que Sainte-Barbe, notre patronne protège mes compagnons et moi-même.
Amen »
A l’issue de la messe, pompiers et personnalités se retrouvaient pour le port de l’amitié au chalet de l’Amicale des pompiers installé au cœur du village de Noël et de la patinoire de Calvi.