"La campagne électorale est de plus en plus dure, délétère et passablement orientée. Les medias rivalisent d’ardeur pour masquer la réalité de la situation économique et sociale du pays, préférant insister sur des affaires plus ou moins sordides" soulignent les représentants de "Crse insoumise".
"Dans le tintamarre général la candidature de Jean-Luc Mélenchon est soit ignorée, soit calomniée. La machine à sondages roule à fond. Le Capital a compris très vite qu’en Europe et en France, un courant insoumis anti système est en train de se développer; c’est pour cette raison qu’il appuie Emmanuel macron. "
La tâche est rude pour les militants de la Corse insoumise, rude mais exaltante: mener une dure campagne d‘explication sur le terrain, en direct avec les populations, sur la base du programme l’Avenir en commun. Expliquer comment ce programme peut apporter des réponses aux problèmes qui se posent avec acuité et gravité à la Corse : le chômage, le manque de logements sociaux, le développement économique, les déchets ménagers et industriels, l’état de l’agriculture insulaire, l’eau, les transports, etc...
Et cette campagne porte quotidiennement ses fruits!"
Autre question débattue, les législatives, indissociables de la présidentielle. Il est nécessaire de s’en préoccuper dès maintenant estiment les comités "Corse insoumise" qui présenteront des candidats dans la première circonscription de la Corse-du-Sud (Jacques Casamarta et Christine Malfroy) et dans la première circonscription de la Haute-Corse (Catalina Laurenti et Claude Franceschi). Les autres circonscriptions feront l’objet d’un examen approfondi dans la perspective de dégager éventuellement des candidatures.
"Une dynamique est en marche et que de nombreuses initiatives sur le terrain se prennent au quotidien. ( distribution de tracts, affichage, vente du programme et réunions publiques...) "
Une prochaine réunion de "Corse Insoumise" est prévue dans les quinze jours