J.Baptiste Luccioni et J.Charles Orsucci
Les candidats à la députation se disent d’une génération qui veut changer les choses et combattre des visions jugées trop parisiennes depuis trois mandats. Ils annoncent une autre manière de faire de la politique, suite logique d’un engagement déjà très fort au niveau local et au sein de leurs municipalités respectives.
Etre le suppléant de Jean Charles Orsucci est, pour le maire de Pietrosella une décision mûrement réfléchie face à la politique actuelle et aux autres candidats aux présidentielles. C’est un choix politique, une démarche, un engagement. Leurs routes ont toujours été parallèles avec des idées et des engagements communs, aujourd’hui tous deux se disent heureux que leurs chemins se soient enfin rejoints, et ce, grâce au programme Macron qui est un programme pour la Corse, un programme pour la France.
« Parmi les premiers mots que j’ai entendu prononcer par le candidat Macron,, c’est que le mouvement « En Marche » n’a pas vocation d’être caporaliste, mais qu’il permet à chacun une marge de manœuvre, une réflexion qui peut-être autre que la sienne. Il est aussi le seul candidat à avoir employé le mot "girondins" dans cette campagne présidentielle. Nous partageons avec le mouvement cette idée d’une classe politique renouvelée" affirme Jean-Charles Orsucci.
"Il faut tourner la page du député sortant, nous avons la conviction qu’il faut faire tomber les clivages stériles et partisans pour aller uniquement vers le bien commun. En Corse comme partout ailleurs, il est nécessaire de procéder aujourd’hui à un renouvellement de la classe politique ».
La Corse doit, pour Jean-Charles Orsucci et Jean-Baptiste Luccioni faire émerger des forces de progrès et "tourner la page d’un jacobisme néfaste, pour donner sa chance au pacte Girondin prôné et assumé dans le programme présidentiel d’Emmanuel Macron".
"Il est temps pour elle de sortir d’une politique moyenâgeuse trop longtemps menée par les tenants du conservatisme".
Jean-Charles Orsucci essayera d’être le "député de la cohérence politique, de l’affirmation qu’il y a des choix qui doivent être faits en Corse, par les corses. Chaque position prise ici en Corse sera la même qui sera adoptée dans les rangs de l’assemblée nationale".
"Députés nous serons les représentants du peuple français sans jamais renier nos convictions et nos engagements locaux. On ne peut décemment pas voter blanc à l’Assemblée de Corse et voter noir dans les rangs de l’Assemblée nationale ».
Les deux candidats aux législatives se disent inscrits dans la ligne politique défendue par Michel Rocard « si chère aux corses ».
"La Corse dans la République, mais avide de décentralisation, en route pour l’autonomie et au cœur du projet européen"
« En matière de décentralisation nous espérons bien que cette France girondine connaîtra le curseur le plus poussé ici en Corse, car c’est ici que la prise en compte de la décentralisation doit se faire pour le bien de la France et de la Corse ».
Aucune certitude pour le binôme que la politique qui sera mise en œuvre sera à 100% en adéquation avec les idées qu’ils défendent depuis longtemps, au niveau local, mais ils sont convaincus "d’avoir choisi le meilleur candidat pour que la France soit le plus décentralisée possible."
« Le programme de Macron est à la fois bon pour la Corse, et nous réaffirmerons dans cette campagne qui nous attend, ce à quoi nous sommes attachés. Même si le mot « autonomie » n’a pas été prononcé par le candidat Macron, il est celui pour lequel nous entendons bien peser demain si nous sommes élus députés et quand bien même si nous n’avons pas cette chance, nous le ferons peser dans le débat insulaire pour que cette idée avance : celle de l’autonomie de la Corse dans la République. Aujourd’hui nous savons tous qu’il y a un bon nombre de compétences en dehors de celles régaliennes que nous pouvons gérer et qui doivent être gérées au plus près du terrain ».
Plus que toute autre région la Corse doit être au cœur du projet européen et Méditerranéen. Les candidats feront une campagne ou la Corse jouera un rôle déterminant dans la construction européenne. « Nous adhérons à la vision d’une Europe Forte, qui protège et innove, garante d’une paix durable ».
Le président de la République aura besoin de relais locaux forts, sur lesquels il puisse s’appuyer. Lui et son gouvernement auront besoin de ces relais. Jean-Charles Orsucci et son suppléant Jean-Baptiste Luccioni seront de ceux-là. Et grâce à "cette nouvelle génération de politique prête à accéder aux responsabilités, la Corse aujourd’hui renvoie ce message, qu’elle rentre dans le 21ème siècle et qu’elle tourne la page d’un passé politique révolu."
Etre le suppléant de Jean Charles Orsucci est, pour le maire de Pietrosella une décision mûrement réfléchie face à la politique actuelle et aux autres candidats aux présidentielles. C’est un choix politique, une démarche, un engagement. Leurs routes ont toujours été parallèles avec des idées et des engagements communs, aujourd’hui tous deux se disent heureux que leurs chemins se soient enfin rejoints, et ce, grâce au programme Macron qui est un programme pour la Corse, un programme pour la France.
« Parmi les premiers mots que j’ai entendu prononcer par le candidat Macron,, c’est que le mouvement « En Marche » n’a pas vocation d’être caporaliste, mais qu’il permet à chacun une marge de manœuvre, une réflexion qui peut-être autre que la sienne. Il est aussi le seul candidat à avoir employé le mot "girondins" dans cette campagne présidentielle. Nous partageons avec le mouvement cette idée d’une classe politique renouvelée" affirme Jean-Charles Orsucci.
"Il faut tourner la page du député sortant, nous avons la conviction qu’il faut faire tomber les clivages stériles et partisans pour aller uniquement vers le bien commun. En Corse comme partout ailleurs, il est nécessaire de procéder aujourd’hui à un renouvellement de la classe politique ».
La Corse doit, pour Jean-Charles Orsucci et Jean-Baptiste Luccioni faire émerger des forces de progrès et "tourner la page d’un jacobisme néfaste, pour donner sa chance au pacte Girondin prôné et assumé dans le programme présidentiel d’Emmanuel Macron".
"Il est temps pour elle de sortir d’une politique moyenâgeuse trop longtemps menée par les tenants du conservatisme".
Jean-Charles Orsucci essayera d’être le "député de la cohérence politique, de l’affirmation qu’il y a des choix qui doivent être faits en Corse, par les corses. Chaque position prise ici en Corse sera la même qui sera adoptée dans les rangs de l’assemblée nationale".
"Députés nous serons les représentants du peuple français sans jamais renier nos convictions et nos engagements locaux. On ne peut décemment pas voter blanc à l’Assemblée de Corse et voter noir dans les rangs de l’Assemblée nationale ».
Les deux candidats aux législatives se disent inscrits dans la ligne politique défendue par Michel Rocard « si chère aux corses ».
"La Corse dans la République, mais avide de décentralisation, en route pour l’autonomie et au cœur du projet européen"
« En matière de décentralisation nous espérons bien que cette France girondine connaîtra le curseur le plus poussé ici en Corse, car c’est ici que la prise en compte de la décentralisation doit se faire pour le bien de la France et de la Corse ».
Aucune certitude pour le binôme que la politique qui sera mise en œuvre sera à 100% en adéquation avec les idées qu’ils défendent depuis longtemps, au niveau local, mais ils sont convaincus "d’avoir choisi le meilleur candidat pour que la France soit le plus décentralisée possible."
« Le programme de Macron est à la fois bon pour la Corse, et nous réaffirmerons dans cette campagne qui nous attend, ce à quoi nous sommes attachés. Même si le mot « autonomie » n’a pas été prononcé par le candidat Macron, il est celui pour lequel nous entendons bien peser demain si nous sommes élus députés et quand bien même si nous n’avons pas cette chance, nous le ferons peser dans le débat insulaire pour que cette idée avance : celle de l’autonomie de la Corse dans la République. Aujourd’hui nous savons tous qu’il y a un bon nombre de compétences en dehors de celles régaliennes que nous pouvons gérer et qui doivent être gérées au plus près du terrain ».
Plus que toute autre région la Corse doit être au cœur du projet européen et Méditerranéen. Les candidats feront une campagne ou la Corse jouera un rôle déterminant dans la construction européenne. « Nous adhérons à la vision d’une Europe Forte, qui protège et innove, garante d’une paix durable ».
Le président de la République aura besoin de relais locaux forts, sur lesquels il puisse s’appuyer. Lui et son gouvernement auront besoin de ces relais. Jean-Charles Orsucci et son suppléant Jean-Baptiste Luccioni seront de ceux-là. Et grâce à "cette nouvelle génération de politique prête à accéder aux responsabilités, la Corse aujourd’hui renvoie ce message, qu’elle rentre dans le 21ème siècle et qu’elle tourne la page d’un passé politique révolu."