L'ambiance
Ambiance feutrée à Furiani pour ce SCB-OM disputé à huis clos. Seuls les "Vinceremu"et "Uniti" vigoureux des supporters du club, qui avaient quand même du mal à passer par-dessus la tribune Sud où plus de 3 000 d'entre eux s'étaient rassemblés malgré le froid très vif pour suivre la rencontre sur grand écran, parvenaient de temps à autre à couvrir les faits et gestes des 22 acteurs sur le terrain...
L'arbitre
Said Ennjimi qui avait déja arbitré le Sporting face au PSG ne se serait sans doute pas fait remarquer s'il avait sifflé cette faute flagrante sur Maoulida et s'il n'avait sifflé celle moins évidente de Bonne foi dans sa surface de réparation. Deux décisions qui ont sans doute influé sur le sort du match même si elles n'ont rien changé au fait que durant une bonne partie du match l'OM s'est montré supérieur au Sporting.
Le match
Une aubaine dont l'OM voulut tirer rapidement profit en s'installant délibérement dans le camp du Sporting. En tout cas après une première tentative de Amalfitano détournée en corner par la défense bastiaise Valbuena, sur coup franc, faisait passer le frisson dans le camp bastiais et sans cet arrêt-réflexe de Bonnefoi, gêné parJordan Ayew, le SCB aurait plié d'entrée de jeu.
Mais le Sporting, à l'image de Palmieri, ne s'en laissait pas conter. Et sur un contre rondement mené l'ancien istréen centrait en retrait pour Modeste. Le ballon était aussitôt prolongé sur le côté droit où Maoulida, démarqué, était cependant trop en retard pour reprendre.
On l'aura compris les deux équipes étaient à la recherche du K.O.
Et à ce jeu-là, c'est l'OM qui se montra le plus adroit. Aussi adroit en tout cas que Mathieu Valbuena qui d'une reprise de volée acrobatique, consécutive une fois encoreà des atermoiements de la défense bastiaise, crucifiait Bonnefoi.Et l'OM aurait pu même doubler la mise sur ce coup franc de Jordan Ayew qui fit, une fois encore, passer le frisson dans ce Furiani trop orphelin de son public.
Et l'OM continuait avec cette fois Amalfitano , lancé par Valbuena entre deux défenseurs, à la manoeuvre. Mais la sortie de Bonnefoi évitait le pire aux bleus.
Le Sporting tenta bien alors de réagir par Yatabaré, spectaculaire devant la défense marseillaise masi c'est encore l'OM qui se montrait le plus dangereux par André Ayew dont le tir dévié de Harek faillit tromper Bonnefoi.
A la pause les marseillais avaient déjà pris une option sur le match.
Mais si plus rien de notable ne devait survenir jusqu'à l'heure de jeu on ne manquera pas de relever que le match bascula pour une histoire de pénalty.
Le premier justifié était refusé au Sporting. Pourtant vous l'avez bien vu, il y avait bien faute sur Maoulida. Le second était accordé à l'OM pour une faute moins évidente de Bonnefoi.
Deux poids deux mesures qui envoyaient presque le Sporting par le fond.
Mais avec le SCB il n'y a jamais rien de fini.
La preuve ce but de Modeste à la 81e minute.
L'adversaire
L'OM n'est plus l'équipe qu'elle a été. Elle est aujourd'hui bien loin de ses devancières. Mais telle qu'elle est elle est quand même encore au-dessus du lot. Surtout lorsqu'on la regarde jouer comme l'a fait pendant un bon moment le Sporting mercredi soir. Dans ces conditions la sentence est rapide. Et la mise en pratique immédiate.
Le Sporting
Est-ce l'absence du public ? L'embarras dans lequel l'OM l'a plongé d'entrée de jeu ? Ou bien sa supériorité ? On ne sait. Toujours est-il que l'on a du mal à reconnaître dans ce Sporting celui qui avait crânement tenu tête à Lille. Et celui qui avait fait subir mille tourments à Toulouse plus récemment. Ce Sporting qui a du mal à assurer ses arières, à organiser convenablement son jeu et pas davantage à aller de l'avant ça interpelle forcément. Hantz l'a sans doute été. Et à la pause a t-il "recadré" ses troupes. Le SCB tourna alors un peu mieux et il méritait assurément de bénéficier d'un pénalty sur cette faute sur Maoulida. Le sort du match aurait pu en être changé. Mais on doit à la vérité de dire que la barre était mercredi soir un peu haute pour le Sporting...
Le bilan
Des équipes de la deuxième partie du tableau c'est le SCB qui a réalisé la plus mauvaise affaire. Hantz voulait faire fructifier les nuls de Lille et de Toulouse par une victoire. Pour cela il aurait fallu un SCB bien plus entreprenant qu'il ne l'a été mercredi soir. Le SCB de la deuxième période aurait suffi à faire plier l'adversaire. Avec son public en plus il aurait même pu être irrésistible.
Ambiance feutrée à Furiani pour ce SCB-OM disputé à huis clos. Seuls les "Vinceremu"et "Uniti" vigoureux des supporters du club, qui avaient quand même du mal à passer par-dessus la tribune Sud où plus de 3 000 d'entre eux s'étaient rassemblés malgré le froid très vif pour suivre la rencontre sur grand écran, parvenaient de temps à autre à couvrir les faits et gestes des 22 acteurs sur le terrain...
L'arbitre
Said Ennjimi qui avait déja arbitré le Sporting face au PSG ne se serait sans doute pas fait remarquer s'il avait sifflé cette faute flagrante sur Maoulida et s'il n'avait sifflé celle moins évidente de Bonne foi dans sa surface de réparation. Deux décisions qui ont sans doute influé sur le sort du match même si elles n'ont rien changé au fait que durant une bonne partie du match l'OM s'est montré supérieur au Sporting.
Le match
Une aubaine dont l'OM voulut tirer rapidement profit en s'installant délibérement dans le camp du Sporting. En tout cas après une première tentative de Amalfitano détournée en corner par la défense bastiaise Valbuena, sur coup franc, faisait passer le frisson dans le camp bastiais et sans cet arrêt-réflexe de Bonnefoi, gêné parJordan Ayew, le SCB aurait plié d'entrée de jeu.
Mais le Sporting, à l'image de Palmieri, ne s'en laissait pas conter. Et sur un contre rondement mené l'ancien istréen centrait en retrait pour Modeste. Le ballon était aussitôt prolongé sur le côté droit où Maoulida, démarqué, était cependant trop en retard pour reprendre.
On l'aura compris les deux équipes étaient à la recherche du K.O.
Et à ce jeu-là, c'est l'OM qui se montra le plus adroit. Aussi adroit en tout cas que Mathieu Valbuena qui d'une reprise de volée acrobatique, consécutive une fois encoreà des atermoiements de la défense bastiaise, crucifiait Bonnefoi.Et l'OM aurait pu même doubler la mise sur ce coup franc de Jordan Ayew qui fit, une fois encore, passer le frisson dans ce Furiani trop orphelin de son public.
Et l'OM continuait avec cette fois Amalfitano , lancé par Valbuena entre deux défenseurs, à la manoeuvre. Mais la sortie de Bonnefoi évitait le pire aux bleus.
Le Sporting tenta bien alors de réagir par Yatabaré, spectaculaire devant la défense marseillaise masi c'est encore l'OM qui se montrait le plus dangereux par André Ayew dont le tir dévié de Harek faillit tromper Bonnefoi.
A la pause les marseillais avaient déjà pris une option sur le match.
Mais si plus rien de notable ne devait survenir jusqu'à l'heure de jeu on ne manquera pas de relever que le match bascula pour une histoire de pénalty.
Le premier justifié était refusé au Sporting. Pourtant vous l'avez bien vu, il y avait bien faute sur Maoulida. Le second était accordé à l'OM pour une faute moins évidente de Bonnefoi.
Deux poids deux mesures qui envoyaient presque le Sporting par le fond.
Mais avec le SCB il n'y a jamais rien de fini.
La preuve ce but de Modeste à la 81e minute.
L'adversaire
L'OM n'est plus l'équipe qu'elle a été. Elle est aujourd'hui bien loin de ses devancières. Mais telle qu'elle est elle est quand même encore au-dessus du lot. Surtout lorsqu'on la regarde jouer comme l'a fait pendant un bon moment le Sporting mercredi soir. Dans ces conditions la sentence est rapide. Et la mise en pratique immédiate.
Le Sporting
Est-ce l'absence du public ? L'embarras dans lequel l'OM l'a plongé d'entrée de jeu ? Ou bien sa supériorité ? On ne sait. Toujours est-il que l'on a du mal à reconnaître dans ce Sporting celui qui avait crânement tenu tête à Lille. Et celui qui avait fait subir mille tourments à Toulouse plus récemment. Ce Sporting qui a du mal à assurer ses arières, à organiser convenablement son jeu et pas davantage à aller de l'avant ça interpelle forcément. Hantz l'a sans doute été. Et à la pause a t-il "recadré" ses troupes. Le SCB tourna alors un peu mieux et il méritait assurément de bénéficier d'un pénalty sur cette faute sur Maoulida. Le sort du match aurait pu en être changé. Mais on doit à la vérité de dire que la barre était mercredi soir un peu haute pour le Sporting...
Le bilan
Des équipes de la deuxième partie du tableau c'est le SCB qui a réalisé la plus mauvaise affaire. Hantz voulait faire fructifier les nuls de Lille et de Toulouse par une victoire. Pour cela il aurait fallu un SCB bien plus entreprenant qu'il ne l'a été mercredi soir. Le SCB de la deuxième période aurait suffi à faire plier l'adversaire. Avec son public en plus il aurait même pu être irrésistible.
La fiche tecnique'
h Furiani SCB : 2 OM : 1( 0-1)
Buts pour le SCB : Modeste (81e)
Pour l'OM : Valbuena (15e), André Ayew sur pénalty (70e)
Avertissements : Palmieri (23e), Bonnefoi (69e), Yabataré (74e) au SCB; Nkoulou (81e), André Ayew (86e)
Temps : Froid
Arbitre : M. Ennjimi
SCB :
Bonnefoi, Angoula, Harek puis Sablé (63e), Choplin, Palmieri, Yatabare, Rothen,Khazri, Maoulida, Ilan par Barbato (80e), Modeste (Novaes, Vannnucci, Cioni, Keita, El Azzouzi)
OMui :ez
Mamenda, N'Koulou, Mendes, Morel, Fanni, Barton, Abdullah, Amalfitano, Valbuena, J.Ayew, A. Ayew par Gignac (83e) (Bracigliano, Abdallah, N,Diaye, Remy, Raspentino )
Buts pour le SCB : Modeste (81e)
Pour l'OM : Valbuena (15e), André Ayew sur pénalty (70e)
Avertissements : Palmieri (23e), Bonnefoi (69e), Yabataré (74e) au SCB; Nkoulou (81e), André Ayew (86e)
Temps : Froid
Arbitre : M. Ennjimi
SCB :
Bonnefoi, Angoula, Harek puis Sablé (63e), Choplin, Palmieri, Yatabare, Rothen,Khazri, Maoulida, Ilan par Barbato (80e), Modeste (Novaes, Vannnucci, Cioni, Keita, El Azzouzi)
OMui :ez
Mamenda, N'Koulou, Mendes, Morel, Fanni, Barton, Abdullah, Amalfitano, Valbuena, J.Ayew, A. Ayew par Gignac (83e) (Bracigliano, Abdallah, N,Diaye, Remy, Raspentino )
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