N'Diaye et Pastorelli face à Fontaine
L'ambiance
Si le FC Tours-Corsica a tremblé en début de partie ce n'est certainement pas à cause de l'ambiance qui régnait au stade Armand-Cesari Vendredi soir. Une fois encore le CAB a joué dans un stade désespérément vide, et s'il n'y avait eu cette poignée de supporters tourangeaux, qui encourageaient les "bleus" visiteurs, on aurait pu entendre les... moustiques voler dans l'arène bastiaise. Certes le CAB est lanterne rouge, certes le CAB n'a pas encore pu embrasser la victoire mais le CAB mérite quand même un peu plus d'intérêt de la part des amateurs de foot de la région !
Le match
Trois occasions en l'espace de quatre minutes : le CAB n'était jamais aussi bien rentré dans un match. Pourtant une fois encore les joueurs de Stéphane Rossi n'ont pas réussi à tirer profit de ces belles opportunités. Il est vrai que sur les tentatives de Pastorelli, sollicité par le dernier arrivé Moizini, et de Grimaldi, Fontaine, du poing gauche, d'abord, puis du poing droit, ensuite, avait tout renvoyé, il n'en demeure pas moins que la marque restait vierge.
De quoi plonger un peu plus le CAB dans le doute.
D'autant qu'à la 21e minute le coup-franc frappé, en force, des 20 mètres par l'ancien ajaccien Andy Delort, était mal renvoyé par Sébastien Lombard : Schwechlen, qui avait bien suivi, n'avait plus, dès lors, qu'à pousser le ballon au fond des filets. Un but à l'effet de coup d'assommoir pour une équipe du CAB qui, dans sa quête indispensable de points, se trouva confrontée à une situation qui n'était pas faite pour lui faciliter la tâche.
Les joueurs de Stéphane Rossi n'ont cependant pas abdiqué pour autant. Ils se sont, en effet, approchés à plusieurs reprises de Leroy et de la surface de réparation adverse mais si les intentions étaient encore là, il manquait toujours l'étincelle susceptible de faire la différence.
Un peu avant l'heure de jeu Stéphane Rossi tentait bien de relancer sa machine en appelant Cropanese sur le terrain mais ce furent encore les visiteurs qui se montraient les plus dangereux par l'intermédiaire de Delort qui, sollicité par Touati, ne parvenait pas cette fois à abuser Lombard, décisif sur le coup.
Mais comme de l'autre côté le poing de Leroy était encore là pour aller chercher dans la lucarne un ballon de Grimaldi que tout le monde voyait déjà au fond des filets tourangeaux...
On s'acheminait ainsi vers la fin du match quand dans un ultime sursaut rageur, que l'on aurait aimé le voir afficher plus souvent, le CAB parvenait par Le Mat, embusqué au premier poteau, à égaliser après un corner venu de la droite de Grimaldi.
Mais la joie du CAB était de courte durée : dans les secondes suivantes Andy Delort redonnait l'avantage et la victoire au FC Tours.
Dur, dur pour le CAB...
Le CAB
Mais que doit faire le CAB pour gagner un match ? Vendredi soir encore l'équipe bastiaise est passée à côté de la victoire qui se refuse à elle depuis le début de la saison. Pourtant le staff et les dirigeants avaient rassemblé tous les, bons ingrédients, pour tenter de sortir le club de l'ornière sportive dans laquelle il s'est fourvoyé au fil des semaines. Stage en Balagne et renfort avec Salim Moizini, un ancien de la maison "bleue" voisine, mais rien n'y a fait.
Le CAB, qui n'a toujours pas gagné, reste scotché à la dernière place du classement malgré un beau final qui lui a empêché de prendre complètement l'eau.
L'adversaire
Il n'est pas génial le FCTours d'Olivier Pantaloni mais sur ce match l'équipe du président Ettori, qui ambitionne de monter dans la hiérarchie du football national, a fait ce qu'il fallait pour ne pas repartir bredouille de Furiani. Et le moins que l'on puisse écrire c'est qu'elle a parfaitement réussi son entreprise en ouvrant peut-être marque de façon heureuse certes, en gérant ensuite puis, enfin, en s'arrachant à la toute dernière de la partie grâce à ce diable de Delort.
Le bilan
Certes le CAB ne méritait pas ça, mais le monde de la Ligue 2 est impitoyable. Après avoir cru être revenue dans le match dans le temps additionnel alors que tout le monde pensait que les carottes étaient cuites, l'équipe de Stéphane Rossi s'est faite dépasser sur le fil : 4 points en 11 matches,le compte n'est pas évidemment bon.
Le CAB poursuit donc son dur apprentissage de la Ligue et même si comme le dit Stéphane Rossi il reste encore 27 matches à jouer et que son équipe progresse, force est de reconnaître que le chemin qu'elle devra emprunter pour parvenir au maintien sera long et malaisé…
Si le FC Tours-Corsica a tremblé en début de partie ce n'est certainement pas à cause de l'ambiance qui régnait au stade Armand-Cesari Vendredi soir. Une fois encore le CAB a joué dans un stade désespérément vide, et s'il n'y avait eu cette poignée de supporters tourangeaux, qui encourageaient les "bleus" visiteurs, on aurait pu entendre les... moustiques voler dans l'arène bastiaise. Certes le CAB est lanterne rouge, certes le CAB n'a pas encore pu embrasser la victoire mais le CAB mérite quand même un peu plus d'intérêt de la part des amateurs de foot de la région !
Le match
Trois occasions en l'espace de quatre minutes : le CAB n'était jamais aussi bien rentré dans un match. Pourtant une fois encore les joueurs de Stéphane Rossi n'ont pas réussi à tirer profit de ces belles opportunités. Il est vrai que sur les tentatives de Pastorelli, sollicité par le dernier arrivé Moizini, et de Grimaldi, Fontaine, du poing gauche, d'abord, puis du poing droit, ensuite, avait tout renvoyé, il n'en demeure pas moins que la marque restait vierge.
De quoi plonger un peu plus le CAB dans le doute.
D'autant qu'à la 21e minute le coup-franc frappé, en force, des 20 mètres par l'ancien ajaccien Andy Delort, était mal renvoyé par Sébastien Lombard : Schwechlen, qui avait bien suivi, n'avait plus, dès lors, qu'à pousser le ballon au fond des filets. Un but à l'effet de coup d'assommoir pour une équipe du CAB qui, dans sa quête indispensable de points, se trouva confrontée à une situation qui n'était pas faite pour lui faciliter la tâche.
Les joueurs de Stéphane Rossi n'ont cependant pas abdiqué pour autant. Ils se sont, en effet, approchés à plusieurs reprises de Leroy et de la surface de réparation adverse mais si les intentions étaient encore là, il manquait toujours l'étincelle susceptible de faire la différence.
Un peu avant l'heure de jeu Stéphane Rossi tentait bien de relancer sa machine en appelant Cropanese sur le terrain mais ce furent encore les visiteurs qui se montraient les plus dangereux par l'intermédiaire de Delort qui, sollicité par Touati, ne parvenait pas cette fois à abuser Lombard, décisif sur le coup.
Mais comme de l'autre côté le poing de Leroy était encore là pour aller chercher dans la lucarne un ballon de Grimaldi que tout le monde voyait déjà au fond des filets tourangeaux...
On s'acheminait ainsi vers la fin du match quand dans un ultime sursaut rageur, que l'on aurait aimé le voir afficher plus souvent, le CAB parvenait par Le Mat, embusqué au premier poteau, à égaliser après un corner venu de la droite de Grimaldi.
Mais la joie du CAB était de courte durée : dans les secondes suivantes Andy Delort redonnait l'avantage et la victoire au FC Tours.
Dur, dur pour le CAB...
Le CAB
Mais que doit faire le CAB pour gagner un match ? Vendredi soir encore l'équipe bastiaise est passée à côté de la victoire qui se refuse à elle depuis le début de la saison. Pourtant le staff et les dirigeants avaient rassemblé tous les, bons ingrédients, pour tenter de sortir le club de l'ornière sportive dans laquelle il s'est fourvoyé au fil des semaines. Stage en Balagne et renfort avec Salim Moizini, un ancien de la maison "bleue" voisine, mais rien n'y a fait.
Le CAB, qui n'a toujours pas gagné, reste scotché à la dernière place du classement malgré un beau final qui lui a empêché de prendre complètement l'eau.
L'adversaire
Il n'est pas génial le FCTours d'Olivier Pantaloni mais sur ce match l'équipe du président Ettori, qui ambitionne de monter dans la hiérarchie du football national, a fait ce qu'il fallait pour ne pas repartir bredouille de Furiani. Et le moins que l'on puisse écrire c'est qu'elle a parfaitement réussi son entreprise en ouvrant peut-être marque de façon heureuse certes, en gérant ensuite puis, enfin, en s'arrachant à la toute dernière de la partie grâce à ce diable de Delort.
Le bilan
Certes le CAB ne méritait pas ça, mais le monde de la Ligue 2 est impitoyable. Après avoir cru être revenue dans le match dans le temps additionnel alors que tout le monde pensait que les carottes étaient cuites, l'équipe de Stéphane Rossi s'est faite dépasser sur le fil : 4 points en 11 matches,le compte n'est pas évidemment bon.
Le CAB poursuit donc son dur apprentissage de la Ligue et même si comme le dit Stéphane Rossi il reste encore 27 matches à jouer et que son équipe progresse, force est de reconnaître que le chemin qu'elle devra emprunter pour parvenir au maintien sera long et malaisé…
La feuille de match
Delort échappe à Arnoux.
Stade de Furiani CAB 1: FC Tours : 2 (0-1)
Buts pour le CAB : Le Mat (90+1)
Pour Tours : Schwechlen (21e), Delort (90+3)
Arbitre : M. Ben El Hadj
Avertissements : Truchet (15e), Arnoux (41e), Camara (81e) au CAB, Fontaine (2e), Delort (55e), Adnane (78e) au FC Tours
Exclusion : Pastorelli (85e)
CAB : Lombard, Truchet, Monfray, Camara, Romey puisLe Mat (87e), Arnoux puis Cropanese (53e), Grimaldi, Marty, Cropanese, Pastorelli,N'Diaye (Phelippon, Moretti, Le Mat, Salis)
Tours : Leroy, Diawara, Fontaine, Schwechlen, Bouhours, Kouakou puis Touati (61e), Fabre, Chevalerin, Delort, Bergougnoux puis Santamaria (87e), Diaz puis Adnane (65e) (Maubleu,Seguin)
Buts pour le CAB : Le Mat (90+1)
Pour Tours : Schwechlen (21e), Delort (90+3)
Arbitre : M. Ben El Hadj
Avertissements : Truchet (15e), Arnoux (41e), Camara (81e) au CAB, Fontaine (2e), Delort (55e), Adnane (78e) au FC Tours
Exclusion : Pastorelli (85e)
CAB : Lombard, Truchet, Monfray, Camara, Romey puisLe Mat (87e), Arnoux puis Cropanese (53e), Grimaldi, Marty, Cropanese, Pastorelli,N'Diaye (Phelippon, Moretti, Le Mat, Salis)
Tours : Leroy, Diawara, Fontaine, Schwechlen, Bouhours, Kouakou puis Touati (61e), Fabre, Chevalerin, Delort, Bergougnoux puis Santamaria (87e), Diaz puis Adnane (65e) (Maubleu,Seguin)
Pastorelli serré de près par Fontaine.
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