Fille de Jean-Pierre Cassel et sœur de Vincent, l’aventure Hollysiz a débuté pour elle en 2008 époque à laquelle elle assure les premières parties de Julien Doré ou du duo Brigitte.
Vêtue d’un débardeur blanc, d’un minishort rouge à la Daisy Duke et d’une paire de collant noirs, les spectateurs ont vu débarquer sur scène une blonde à la chevelure peroxydée, aussi électrique que ses morceaux.
Dès le début du concert elle invite le public du théâtre à se lever et se rapprocher de la scène pour participer au show.
Sur scène Hollysiz se déchaine, se trémousse, bouge et ne tarde pas à entrainer tout son petit monde dans son univers très rock, mâtiné d’une bonne dose de pop et d’électro.
Avec une énergie digne d’une star du rock, Hollysiz arrive à emballer rapidement les spectateurs notamment grâce un investissement scénique rare parmi la scène française qui rappelle, qu’en plus d’être une actrice et chanteuse de talent, elle a reçu une solide formation de danse.
A cela s’ajoute une puissance vocale digne d’une diva du rock presque surprenante dans un si petit bout de femme.
Elle termine le show en se mêlant à la foule et en la filmant avec une caméra go pro accrochée à son torse tout en l’invitant à reprendre l’air de son lead single « Come back to me » très marqué années 80.
Bref, pari réussi pour Hollysiz qui a su conquérir le public bastiais en lui communiquant l’envie de sauter, danser et bouger sans retenue au rythme d'une chorégraphie endiablée.
En première partie le Paul Mancini trio, venu tout droit d'Ajaccio, avait contribué, lui aussi, a faire monter une ambiance qui est allée crescendo jusqu'au bouquet final Hollysiz !
Vêtue d’un débardeur blanc, d’un minishort rouge à la Daisy Duke et d’une paire de collant noirs, les spectateurs ont vu débarquer sur scène une blonde à la chevelure peroxydée, aussi électrique que ses morceaux.
Dès le début du concert elle invite le public du théâtre à se lever et se rapprocher de la scène pour participer au show.
Sur scène Hollysiz se déchaine, se trémousse, bouge et ne tarde pas à entrainer tout son petit monde dans son univers très rock, mâtiné d’une bonne dose de pop et d’électro.
Avec une énergie digne d’une star du rock, Hollysiz arrive à emballer rapidement les spectateurs notamment grâce un investissement scénique rare parmi la scène française qui rappelle, qu’en plus d’être une actrice et chanteuse de talent, elle a reçu une solide formation de danse.
A cela s’ajoute une puissance vocale digne d’une diva du rock presque surprenante dans un si petit bout de femme.
Elle termine le show en se mêlant à la foule et en la filmant avec une caméra go pro accrochée à son torse tout en l’invitant à reprendre l’air de son lead single « Come back to me » très marqué années 80.
Bref, pari réussi pour Hollysiz qui a su conquérir le public bastiais en lui communiquant l’envie de sauter, danser et bouger sans retenue au rythme d'une chorégraphie endiablée.
En première partie le Paul Mancini trio, venu tout droit d'Ajaccio, avait contribué, lui aussi, a faire monter une ambiance qui est allée crescendo jusqu'au bouquet final Hollysiz !
Golden Gate Quartet samedi
Après Dave Finnengan ce vendredi, c'est au tour du Golden Gate Quartet de prendre le relais sur la scène du théâtre municipal. S'il a contribué à faire entrer la musique noire dans la légende, le Golden Gate Quartet n'en garde pas moins toute son actualité en 2013. Près de 80 ans après avoir surgi dans le Vieux Sud de la ségrégation, il illustre aujourd'hui sa vitalité créative en publiant un nouvel album événement dont le titre, « Incredible », est à la mesure du sens de l'innovation dont il a toujours fait preuve.
Tout au long d'une carrière exemplaire, le GGQ a vu sa composition évoluer à diverses reprises. Pour son manager actuel, Paul Brembly (pilier du groupe depuis son arrivée en 1971, à la demande de son grand-oncle Orlandus Wilson, et leader des Gates depuis la mort ce dernier), le quartet doit rester irrémédiablement fidèle à la vision artistique novatrice qu'il s'était fixée à ses débuts.
Mais lorsqu'Orlandus Wilson engage une nouvelle recrue, la première chose qu'il lui enseigne est le respect de la tradition et le goût de l'innovation, mettant un point d'honneur à veiller à ce que le Quartet conserve son esprit d'avant-garde.
La force du GGQ depuis un demi-siècle est d'avoir su conforter ce statut d'ambassadeur de la musique noire américaine à l'échelle planétaire en devenant une véritable institution. Mais le groupe a besoin d'innover. Après avoir contribué à faire le lien entre l'âge des spirituals et l'ère du gospel, après avoir annoncé la révolution hip-hop grâce aux longs monologues, ancêtres du rap, qui caractérisent son répertoire depuis des décennies, le Quartet aura démontré que la modernité de son art, à l'écart des modes, était le fruit d'un état d'esprit inaltérable.
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Ce samedi 12 Avril à 20h30 au théâtre municipal
Tout au long d'une carrière exemplaire, le GGQ a vu sa composition évoluer à diverses reprises. Pour son manager actuel, Paul Brembly (pilier du groupe depuis son arrivée en 1971, à la demande de son grand-oncle Orlandus Wilson, et leader des Gates depuis la mort ce dernier), le quartet doit rester irrémédiablement fidèle à la vision artistique novatrice qu'il s'était fixée à ses débuts.
Mais lorsqu'Orlandus Wilson engage une nouvelle recrue, la première chose qu'il lui enseigne est le respect de la tradition et le goût de l'innovation, mettant un point d'honneur à veiller à ce que le Quartet conserve son esprit d'avant-garde.
La force du GGQ depuis un demi-siècle est d'avoir su conforter ce statut d'ambassadeur de la musique noire américaine à l'échelle planétaire en devenant une véritable institution. Mais le groupe a besoin d'innover. Après avoir contribué à faire le lien entre l'âge des spirituals et l'ère du gospel, après avoir annoncé la révolution hip-hop grâce aux longs monologues, ancêtres du rap, qui caractérisent son répertoire depuis des décennies, le Quartet aura démontré que la modernité de son art, à l'écart des modes, était le fruit d'un état d'esprit inaltérable.
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Ce samedi 12 Avril à 20h30 au théâtre municipal