Le point de la situation
(Photo Marine Nationale)
Après deux jours de lutte antipollution, les deux nappes d’une longueur initiale de 35 kilomètres, se fragmentent.
Par ailleurs, depuis vendredi, on observe une dérive globalement vers le Sud qui oscille entre 5 et 15 kilomètres des côtes, évoluant au gré des courants maritimes et de la météo. Dans ce contexte, il convient de rester prudent.
La zone de recherche s’étendait ce dimanche ur sur une dizaine de kilomètres avec une dizaine de spots identifiés par moyens aériens au Nord du golfe de Porto-Vecchio.
Les moyens nautiques engagés ont alors procédé à des opérations de récupération de la pollution par chalutage au nord, avec le bâtiment de soutien et d'assistance affrété (BSAA) Jason (affrété de la Marine nationale) et la vedette des Affaires maritimes Mimosa avec, chacun, un chalut; au centre, la vedette Libecciu des Douanes françaises, avec un chalut ; au sud, le bâtiment de soutien et d'assistance affrété (BSAA) Pionnier (affrété de la Marine nationale) et le remorqueur Altagna de la société Erasme avec un chalut.
Ces moyens ont ainsi encerclé la zone et se sont rejoints en son centre.
Les moyens aériens (hélicoptère Dragon 2A de la Sécurité Civile, avion Falcon 50 de la Marine nationale et hélicoptère Panther de la Marine nationale) ont, quant à eux, effectué de nombreux vols de reconnaissance et de guidage des moyens nautiques.
Les analyses des hydrocarbures ont permis d'établir que le risque d’échappement gazeux ne représente aucun risque.
Néanmoins, le produit reste toxique et représente des risques cutanés.
Le dispositif de lutte reprendra dès ce lundi matin.
Par ailleurs, depuis vendredi, on observe une dérive globalement vers le Sud qui oscille entre 5 et 15 kilomètres des côtes, évoluant au gré des courants maritimes et de la météo. Dans ce contexte, il convient de rester prudent.
La zone de recherche s’étendait ce dimanche ur sur une dizaine de kilomètres avec une dizaine de spots identifiés par moyens aériens au Nord du golfe de Porto-Vecchio.
Les moyens nautiques engagés ont alors procédé à des opérations de récupération de la pollution par chalutage au nord, avec le bâtiment de soutien et d'assistance affrété (BSAA) Jason (affrété de la Marine nationale) et la vedette des Affaires maritimes Mimosa avec, chacun, un chalut; au centre, la vedette Libecciu des Douanes françaises, avec un chalut ; au sud, le bâtiment de soutien et d'assistance affrété (BSAA) Pionnier (affrété de la Marine nationale) et le remorqueur Altagna de la société Erasme avec un chalut.
Ces moyens ont ainsi encerclé la zone et se sont rejoints en son centre.
Les moyens aériens (hélicoptère Dragon 2A de la Sécurité Civile, avion Falcon 50 de la Marine nationale et hélicoptère Panther de la Marine nationale) ont, quant à eux, effectué de nombreux vols de reconnaissance et de guidage des moyens nautiques.
Les analyses des hydrocarbures ont permis d'établir que le risque d’échappement gazeux ne représente aucun risque.
Néanmoins, le produit reste toxique et représente des risques cutanés.
Le dispositif de lutte reprendra dès ce lundi matin.
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