Fanfan a longtemps vécu à Paris, où il exerçait la profession de directeur d’un cercle de jeu mais dès que son emploi du temps le lui permettait, il sautait dans un avion et direction Ajaccio et ses amis du Gazelec, à Mezzavia, sa maison où depuis 2015, année de l'accession du club en Ligue 1, une tribune portait son nom !
Lors de déplacements à l’extérieur pour accompagner le club, j’ai souvent voyagé avec Fanfan. C’est là que j’ai appris à le connaître, à l’apprécier et surtout à découvrir le bonhomme. Toujours d’humeur égale, disponible, il se démenait comme un beau diable pour rendre service et faire aboutir une affaire.
Il était comme ça Fanfan, raison pour laquelle il n’avait pas d’ennemis, bien au contraire.
Je vais garder de Fanfan le souvenir d’un homme de grande valeur, d’un humaniste d’une rare qualité et surtout du monta sega qu’il était avec son éternelle dérision.
Je n’oublierai jamais son expression favorite lorsqu’il me croisait au stade ou dans la rue à propos d’un cabanon imaginaire que nous nous étions créé dans notre imagination débordante de "flachine".
Il me lançait régulièrement le cri de guerre : "Aghju vistu un bellu cabanon à Annecy. U ci cumpremu?"( "j’ai vu un très joli cabanon à Annecy’ on l’achète ?")
F antan s'en est allé là-haut rejoindre son épouse, ses amis disparu du GFCA et amis d’enfance.
Il va beaucoup nous manquer. Le football insulaire perd l’un des siens et le GFCA sa mémoire avec ce président que tous nous pleurons.
Ti salutu u me amicu. Riposa in pace.
Lors de déplacements à l’extérieur pour accompagner le club, j’ai souvent voyagé avec Fanfan. C’est là que j’ai appris à le connaître, à l’apprécier et surtout à découvrir le bonhomme. Toujours d’humeur égale, disponible, il se démenait comme un beau diable pour rendre service et faire aboutir une affaire.
Il était comme ça Fanfan, raison pour laquelle il n’avait pas d’ennemis, bien au contraire.
Je vais garder de Fanfan le souvenir d’un homme de grande valeur, d’un humaniste d’une rare qualité et surtout du monta sega qu’il était avec son éternelle dérision.
Je n’oublierai jamais son expression favorite lorsqu’il me croisait au stade ou dans la rue à propos d’un cabanon imaginaire que nous nous étions créé dans notre imagination débordante de "flachine".
Il me lançait régulièrement le cri de guerre : "Aghju vistu un bellu cabanon à Annecy. U ci cumpremu?"( "j’ai vu un très joli cabanon à Annecy’ on l’achète ?")
F antan s'en est allé là-haut rejoindre son épouse, ses amis disparu du GFCA et amis d’enfance.
Il va beaucoup nous manquer. Le football insulaire perd l’un des siens et le GFCA sa mémoire avec ce président que tous nous pleurons.
Ti salutu u me amicu. Riposa in pace.