Il rappelle d’abord que les députés étaient appelés à examiner deux motions de censure, déposées par LFI et le RN, à la suite du discours de politique générale du Premier ministre. François-Xavier Ceccoli déclare n’y avoir « retrouvé rien - ou presque - des valeurs qui ont fondé [son] engagement en politique », énumérant ces valeurs : la fermeté régalienne, la rigueur budgétaire, l’efficacité de l’action publique, la valorisation du travail et l’accès au soin pour tous.
Le député estime que si « le pays a besoin de se doter d’un budget dans les meilleurs délais », celui-ci « ne peut être adopté à n’importe quel prix », accusant le Premier ministre d’avoir « cédé à tous les chantages » et de s’être « destiné à subir toutes les surenchères ».
Concernant les motions, François-Xavier Ceccoli précise qu’il aurait pu soutenir un texte venu « de la gauche républicaine », mais qu’il lui était « impossible de voter la motion de censure déposée par La France insoumise », qu’il juge « irresponsable » et « dangereuse pour le pays ».
Finalement, après « une longue réflexion », il affirme avoir « décidé de voter la seconde motion de censure », celle présentée par le Rassemblement national, « en responsabilité ».
Le député conclut en réaffirmant que « la politique est une affaire de convictions » et qu’il continuera à s’y référer comme à « une boussole exigeante » pour guider son action à l’Assemblée nationale.
Le député estime que si « le pays a besoin de se doter d’un budget dans les meilleurs délais », celui-ci « ne peut être adopté à n’importe quel prix », accusant le Premier ministre d’avoir « cédé à tous les chantages » et de s’être « destiné à subir toutes les surenchères ».
Concernant les motions, François-Xavier Ceccoli précise qu’il aurait pu soutenir un texte venu « de la gauche républicaine », mais qu’il lui était « impossible de voter la motion de censure déposée par La France insoumise », qu’il juge « irresponsable » et « dangereuse pour le pays ».
Finalement, après « une longue réflexion », il affirme avoir « décidé de voter la seconde motion de censure », celle présentée par le Rassemblement national, « en responsabilité ».
Le député conclut en réaffirmant que « la politique est une affaire de convictions » et qu’il continuera à s’y référer comme à « une boussole exigeante » pour guider son action à l’Assemblée nationale.
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