Invitée de la bibliothèque centrale mardi, l'auteure grecque Ersi Sotiropoulos
Ce livre a été sélectionné pour le Prix Femina étranger 2016, le Prix Littératures européennes (Cognac) 2017 et le Prix du livre européen 2017.
Née à Patras en 1953, Ersi Sotiropoulos a fait des études d'anthropologie en Italie où elle a longtemps vécu avant de s'installer à Athènes. Elle a publié, depuis 1980, cinq romans, une novella, trois recueils de nouvelles et un recueil de poésie. Son roman « Zigzags dans les orangers » (Maurice Nadeau 2003) a reçu le Prix d'Etat et le Prix de la revue Diavàzo. Ersi Sotiropoulos est traduite en six langues.
En 2016, elle a publié chez Stock "Ce qui reste de la nuit", un voyage intime dans les profondeurs de l'âme d'un grand poète grec du début du 20e siècle, Constantin Cavafy (1863-1933). Dans ce livre, ce qui intéresse l’écrivaine athénienne, ce n’est ni la jeunesse de Cavafy dans sa chère ville d’Alexandrie, ni ses exils en Grande-Bretagne ou à Constantinople, mais seulement trois jours dans la vie du poète. Trois jours qu’il passe à Paris avec son frère aîné, John, en juin 1897. C’est sur fond de ce Paris fin de siècle – celui de l’affaire Dreyfus – que se découpe ici sa frêle silhouette..
Peu connu en France, Marguerite Yourcenar avait contribué à faire connaître le poète Constantin Cavafy en France, mais on l'a, depuis, un peu oublié. CNI a rencontré l’auteur grecque, émerveillée par la Corse…..
Née à Patras en 1953, Ersi Sotiropoulos a fait des études d'anthropologie en Italie où elle a longtemps vécu avant de s'installer à Athènes. Elle a publié, depuis 1980, cinq romans, une novella, trois recueils de nouvelles et un recueil de poésie. Son roman « Zigzags dans les orangers » (Maurice Nadeau 2003) a reçu le Prix d'Etat et le Prix de la revue Diavàzo. Ersi Sotiropoulos est traduite en six langues.
En 2016, elle a publié chez Stock "Ce qui reste de la nuit", un voyage intime dans les profondeurs de l'âme d'un grand poète grec du début du 20e siècle, Constantin Cavafy (1863-1933). Dans ce livre, ce qui intéresse l’écrivaine athénienne, ce n’est ni la jeunesse de Cavafy dans sa chère ville d’Alexandrie, ni ses exils en Grande-Bretagne ou à Constantinople, mais seulement trois jours dans la vie du poète. Trois jours qu’il passe à Paris avec son frère aîné, John, en juin 1897. C’est sur fond de ce Paris fin de siècle – celui de l’affaire Dreyfus – que se découpe ici sa frêle silhouette..
Peu connu en France, Marguerite Yourcenar avait contribué à faire connaître le poète Constantin Cavafy en France, mais on l'a, depuis, un peu oublié. CNI a rencontré l’auteur grecque, émerveillée par la Corse…..